Les haïtiens vivent au quotidien la douleur de Golgotha, où vendredi saint est un jour qui ne s’achève pas

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Les calvaires des temps modernes, surmontés par les haïtiens,
Sont des croix bien lourdes, des fardeaux incandescents,
Ils portent en eux la douleur, le chaos, la violence,
Mais gardent l’espoir et la force malgré l’existence.

Leur vie est un vendredi saint, un jour de souffrance,
Où la mort plane, où la peur est une constante,
Ils sont condamnés sans jugement, comme des criminels,
Et jetés en prison, à ciel ouvert, sans sommeil.

Mais ils se relèvent, tels des rescapés de l’histoire,
Ils se battent pour leur dignité, leur liberté, leur gloire,
Ils sont les héros de la résilience, de la persévérance,
Ils défient les tempêtes, les ouragans, la violence.

Ils sont le symbole de la force, de l’humanité,
Leur courage est leur bouclier, leur détermination leur clé,
Ils sont debout, malgré les blessures, les cicatrices,
Ils sont fiers, malgré les coups, les injustices.

Les calvaires des temps modernes ne les briseront jamais,
Ils sont des survivants, des combattants, des vaillants,
Ils sont la flamme de l’espoir, de la résistance,
Ils sont les haïtiens, fiers et debout, dans leur persistance.

Les Calvaires des temps modernes ont été surmontés
Par des Haïtiens courageux et déterminés.
Ils vivent au quotidien la douleur de Golgotha,
Où vendredi saint est un jour qui ne s’achève pas.

Alors que vendredi saint se poursuit,
Les Haïtiens continueront leur lutte,
Pour un avenir plus juste et plus lumineux,
Un avenir de paix et de liberté, pour eux et pour tous.

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