Dr. Ariel Henry, chef du gouvernement le plus corrompu de la Caraïbe – voir rapport Transparency International – mais très aimé et chouchouté par ses tuteurs, ne doit pas considérer qu’il est une émanation du peuple haïtien, car les gouvernements autoritaires qui se fondent sur la force, la corruption, l’utilisation de stratagème, et la répression plutôt que sur la légitimité démocratique ne peuvent pas prétendre représenter le peuple.
Ironie de l’histoire, le président à vie est mort sans n’être plus président!
Lundi 6 février 2023 ((rezonodwes.com))–
Le matin du 7 février 1986 en Haïti, était marqué par l’annonce de la chute du dictateur Jean-Claude Duvalier. La nouvelle s’était répandue rapidement dans le pays, provoquant une effervescence dans les rues de la capitale Port-au-Prince et dans d’autres villes. Les gens sortaient de chez eux pour célébrer la fin de la dictature des Duvalier-père et fils, qui avaient régné sur le pays avec une main de fer pendant 29 ans.
Des manifestations de joie et d’allégresse éclataient dans les rues, avec des cris de « Liberté! » et « Vivre la démocratie! » Les gens se réunissaient pour chanter et danser, heureux de la fin de l’oppression et de la tyrannie. Beaucoup avaient le sentiment que la vie en Haïti allait enfin changer pour le mieux.
L’ambiance était à la fois joyeuse et nerveuse, car les gens savaient que la route vers la démocratie ne serait pas facile. Mais malgré les incertitudes, il y avait un sentiment d’espoir palpable dans l’air ce matin-là. Les gens étaient déterminés à construire un avenir meilleur pour eux-mêmes et pour les générations à venir.
La chute de Duvalier marqua le début d’une nouvelle ère en Haïti, remplie d’espoir et de possibilités. Les gens avaient enfin la possibilité de vivre librement, sans crainte de la répression et de la violence. Mais, hélas! Surviennent après FAd’H, puis Lavalas et ses dérivés, et finalement Tèt Kale PHTK1, PHTK2, PHTK 3 et PHTK4 né lundi de l’alliance bâtarde SDP-Fusion-RDNP.
Le chemin vers la démocratie, 37 ans plus tard, est encore long et semé d’obstacles. Les années qui ont suivi la chute de Duvalier ont été marquées par la violence politique, les coups d’État militaires, les élections frauduleuses et la corruption endémique. La situation économique et sociale reste précaire pour la majorité de la population. La situation économique n’a guère progressé, avec une grande partie de la population vivant toujours dans la pauvreté. Jovenel Moise (PHTK2), à sa mort, a disparu avec toutes les institutions démocratiques du pays.
Plus de 30 ans plus tard, en 2023, la situation en Haïti semble toujours loin d’être stabilisée. La démocratie n’a jamais été pleinement établie et les problèmes politiques et sociaux persistants.
Malgré ces défis persistants, il y a eu des signes faibles d’espoir. Les efforts pour améliorer la transparence et la responsabilité dans la vie politique ont continué, et la société civile, – à ne pas confondre avec ISC de Rosny Desroches ou encore le parti du représentant au sein du HTC Tonton Noël – a pris une place plus importante dans le processus politique. La population haïtienne a montré une détermination à construire un avenir meilleur pour elle-même et pour les générations à venir.
Le matin du 7 février 1986 restera à jamais gravé dans la mémoire du peuple haïtien comme le jour où le pays a commencé à se libérer de la dictature et à construire un avenir meilleur. Allons-nous laisser l’esclave à talent Ariel Henry tuer ce rêve tou en étant un usurpateur de titre en mission spéciale pour effacer le pays de la carte régionale?
En conclusion, la chute de Duvalier en 1986 a ouvert la voie à une nouvelle ère en Haïti, mais le chemin vers la démocratie est long et difficile.
7 février 1986 – 7 février 2023, le peuple acceptera-t-il au lendemain du 7 février 2023 de retourner à ses vomis ou d’avaler les pilules amères recommandées par la professeure Mirlande Manigat et prescrites par Dr. Henry.
Beaucoup d’eau a coulé sous le pont depuis. Les adversaires d’antan sont devenus les ‘défenseurs’ de la République aujourd’hui.
