En Amérique latine et dans les Caraïbes (ALC), les prévisions « sont assez asymétriques ». Elles devraient s’établir à 8,1% à la fin de 2022 et à 7,9% en 2023. Parmi les grandes économies de la région, des pays comme le Costa Rica, la Colombie et le Brésil devraient avoir les taux de chômage les plus élevés à la fin de 2022. Et pour Haiti, n’en parlons pas.
Que peut bien offrir de son côté le régime PHTK3/PHTK4 aux haïtiens autres que l’intensification de la violence aveugle des gangs, la hausse de l’inflation, la misère, grangou kloroks, l’exode massif des jeunes, les violations flagrantes de la Constitution avec les planifications d’un referendum-bidon illégal et des élections truquées, les mensonges d’Etat, les stratagèmes, l’impunité, la corruption…et les soulouqueries d’un monarque sans couronne.
La République dominicaine aurait clôturé l’année 2022 à 6,4% alors que le dirigeant haïtien, malgré son incapacité totale à diriger le pays, prend plaisir à prolonger de 14 mois la souffrance de son peuple en complicité avec la professeure Mirlande Manigat dont le parti fut vainqueur des présidentielles truquées en janvier 1988.
Vendredi 20 janvier 2023 ((rezonodwes.com))–
Après avoir présenté un taux de chômage de 7,4% à la fin de l’année 2021 et espérant clôturer l’année 2022 à 6,4%, le gouvernement prévoit une nouvelle baisse de cet indicateur d’ici 2023, portant le taux à 6,2%.
Selon le rapport sur les perspectives économiques du ministère de l’Industrie, du Commerce et des Mipymes (MICM), si cet objectif est atteint, il représenterait « une baisse significative » par rapport à ce qui était affiché il y a un an. Les données de la Banque centrale de la République dominicaine (BCRD) indiquent qu’au troisième trimestre de 2022, le nombre de personnes employées – tant dans le secteur formel qu’informel – s’élevait à 4,6 millions de travailleurs.
Ce chiffre représente juste une augmentation de 1 952 travailleurs par rapport au troisième trimestre de 2019, période précédant la pandémie, indique le Centre régional de stratégies économiques durables (CREES). « Entre ces deux périodes, les travailleurs formels ont diminué de 133 921, tandis que les travailleurs informels ont augmenté de 135 873. Ces variations expliquent l’augmentation nette de 1 952 travailleurs salariés », dit-il.
Il soutient également qu’au troisième trimestre de 2022, le taux de chômage ouvert s’est établi à 4,8 % ; ce qui signifie une diminution de 1,7 point de pourcentage par rapport au taux du même trimestre de 2019.
En ce sens, un taux de chômage équivalent à 6,4% est prévu pour la fin 2022, en hausse par rapport aux 6,2% atteints en 2019. Toutefois, le taux attendu pour la fin de cette année représente une baisse de 100 points de base par rapport à 2021 et devrait tomber à 6,2 % en 2023.
Le rapport souligne que, suivant les résultats de l’enquête nationale continue sur les forces de travail (ENCFT) de la Banque centrale, le secteur informel de l’économie (hors service domestique) représente 51,7 % de la population active occupée au deuxième trimestre 2022.
En outre, au cours de la période visée, le taux de chômage ouvert s’est établi en moyenne à 6,4 %, un niveau similaire à celui prévu par le Fonds monétaire international (FMI) pour 2022.
D’après l’agence gouvernementale, les marchés du travail continuent de se redresser, la croissance des salaires étant en phase avec la baisse du taux de chômage et la hausse des prévisions d’inflation.
En Amérique latine et dans les Caraïbes (ALC), les prévisions « sont assez asymétriques », disent-ils. Elle devrait s’établir à 8,1% à la fin de 2022 et à 7,9% en 2023. Parmi les grandes économies de la région, des pays comme le Costa Rica, la Colombie et le Brésil devraient avoir les taux de chômage les plus élevés à la fin de 2022.
Pour sa part, l’Organisation internationale du travail (OIT) souligne que le niveau élevé d’informalité a nui à la reprise complète de l’emploi dans la région, car les entreprises ont plus de difficultés à accéder au crédit formel et à recevoir des aides publiques.
source: El Dinero