Dossiers Martelly-Lamothe-Céant | Emmelie Prophète de PHTK3 promet de se pencher sur le sort de ses ex-patrons sanctionnés pour connivence avec les gangs et blanchiment d’argent

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Amateurisme étatique | Dossiers Martelly-Lamothe. Emmelie Prophète-Milcé de
PHTK3 promet de se pencher sur le sort de ses anciens patrons indexés de
connivence avec les gangs et de blanchiment d’argent
.
 
L’article 19 du Code d’Instruction Criminelle, il est tout indiqué pour inculper l’ancien « président » Michel Martelly, les deux anciens premiers ministres Laurent Lamothe (PHTK1) et Jean-Henry Céant (PHTK2). Encore faudrait-il que Emmelie Prophète (PHTK3) daigne manifester sa bonne foi pour faire avancer ce dossier.
  
Vendredi 25 novembre 2022 ((rezonodwes.com)) —Alors qu’à partir d’une simple
dénonciation de corruption et d’association de malfaiteurs, tout Commissaire du
Gouvernement est habilité à ouvrir une enquête, la novice Emmelie Prophète-Milcé,
ministre de facto de la Justice, se lance dans l’amateurisme étatique tout en
reconnaissant, malgré tout, que les actes reprochés aux ténors et alliés PHTK1 et 2 ont eu lieu sur le territoire national.
 
Déjà empêtrée dans les dossiers Montferrier Dorval et Jovenel Moise, la justice
haïtienne déjà en lambeaux, avec à sa tête une ministre qui n’a jamais fait ses preuves auparavant dans le domaine judiciaire, s’apprête à se lancer à la poursuite de Michel Martelly accusé par le Canada de participer au financement des gangs criminels armés en
Haïti.
 
Martelly – surnommé bandi legal -, Lamothe, Céant, Bodeau, Fourcand sont revenus le weekend dernier rejoindre les PHTKistes de la deuxième heure, Lambert et Latortue, dans la liste des “individus”, selon le Canada, qui accumulent des richesses dans le trafic des stupéfiants et en même temps financent les gangs armés criminels en Haïti.
 
Selon l’article 19 du Code d’Instruction Criminelle, Mme Prophète a déjà tous
les éléments disponibles à sa disposition pour agir vite et fort, si elle veut vraiment
éviter des spirales de dilatoires, et poursuivre les présumés complices des gangs. En
effet, cet article stipule : « Toute autorité constituée, tout fonctionnaire ou officier
public, qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquerra la connaissance d’un crime ou
d’un délit, sera tenu d’en donner avis sur le champ au commissaire du gouvernement
dans le ressort duquel ce crime ou ce délit a été commis… »

Il ne reste plus aux autorités haïtiennes qu’à mettre la justice en mouvement, en
commençant par envoyer la police aux trousses de ces malfrats qui ont mis le pays à genou.

Justice doit être rendue au nom du peuple haïtien qui n’en peut plus de cette
misère crasse dans laquelle elle végète pendant que les « bandi legal », corrompus
au plus haut point mènent une vie de pacha le plus tranquillement du monde.

La justice doit les empêcher de dormir en se saisissant des sanctions prises par le
Canada pour tracer des exemples et lutter enfin contre l’impunité qui gangrène la
société haïtienne.

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