
Par peur de se faire tirer les oreilles par les oligarques, l' »esclave à talent », Jean Victor Généus, qui n’est plus maitre de ses paroles, a tenu lundi soir un autre discours devant le Conseil de Sécurité.
Il n’est pas donné à tous les intellectuels haïtiens d’avoir un brin de caractère et de personnalité. « Si Généus te yon Moun, li pat dwe tounen la a ankò vinn radote ».
« Le peuple survit » car quand ce n’est pas les gangs qui assassinent, tuent, brulent, violent et pillent, c’est les policiers au service du pouvoir corrompu Tèt Kale qui bombardent des manifestants de gaz lacrymogènes tout en exerçant des représailles à leur encontre.
Lundi 17 octobre 2022 ((rezonodwes.com))–« Ce qu’on aurait pu réaliser avec les US$4 Milliards 200 millions des fonds de Petro Caribe dilapidés par le régime PHTK », selon Me. André Michel, passé aujourd’hui dans le camp Tèt Kale, en est la cause exacte de la lutte de survie du peuple haïtien aggravée par la fédération des gangs, une autre source de malheur où abreuvent l’insécurité et l’impunité avec le ralentissement de la vie en Haiti.
Moins de deux semaines, après avoir déclaré que « tout est sous contrôle« , le marxiste-léniniste Tèt Kale, Jean Victor Généus, revient à la charge et sous l’instigation de ses « maitres« , a tenté de vendre au Conseil de Sécurité de l’ONU, une autre image de la crise « préfabriquée » par les partisans du chaos en Haiti.
Le ministre de facto des affaires étrangères de la coalition PHTK-SDP-Fusion, a déclaré au Conseil de Sécurité que « le peuple d’Haïti ne vit pas, il survit. » Une déclaration qui survient au moment même où des milliers d’Haitiens sont descendus dans les rues pour exiger le remplacement de cette équipe gouvernementale pour « incapacité totale à diriger le pays ».
Généus a noté que 4 millions d’enfants ne peuvent pas aller à l’école à cause des « gangs armés et leurs commanditaires » qui terrorisent la population, sans toutefois révéler les accointances du régime avec ces bandits criminels, ont dénoncé en maintes fois des leaders des organismes de droits humains.
Rappelons que des patrons haïtiens qui, selon des révélations, font et défont les gouvernements en Haïti en fonction de leurs intérêts, avaient demandé au Premier ministre de facto, Dr. Ariel Henry, qu’ « il est du devoir du gouvernement de remédier rapidement à cet impair diplomatique, en offrant un nouveau message officiel véridique au conseil de sécurité de l’ONU, pour l’informer de la réalité sur le territoire« .