Le Venezuela avec Maduro est devenu « plus pauvre qu’Haïti », déclare Bolsonaro, du Core Group, très remonté contre des « dirigeants de gauche » en Amérique latine

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Bolsonaro s’en prend à Petro et aux gouvernements de gauche en Amérique latine

Le Brésil dont le nom est cité dans le fameux rapport d’enquête de New York Times sur la « Double rançon de l’Indépendance », a également contribué à l’appauvrissement d’Haiti au même titre que la France et d’autres tuteurs du Premier ministre de facto, Dr. Ariel Henry.

Samedi 20 aout 2022 ((rezonodwes.com))–Le président Jair Bolsonaro, qui cherche à se faire réélire, s’en est pris jeudi à plusieurs gouvernements de gauche en Amérique latine qui, selon lui, restreignent la liberté, encouragent la toxicomanie et détruisent l’économie, déclarant que le « peuple devra choisir » s’il veut cela pour le Brésil.

Le leader d’extrême droite a déclaré que les gouvernements de l’Argentine, de la Colombie, de Cuba, du Chili, du Nicaragua et du Venezuela sont des « menteurs » et a répété qu’ils sont tous « amis » de son principal rival, l’ancien syndicaliste et ex-président Luiz Inácio Lula da Silva.

Toutefois, le régime d’extrême droite Tèt Kale-PHTK instauré en Haiti – à partir des élections frauduleuses – et inconditionnellement soutenu par le Core Group dont fait également partie le principal dirigeant du Brésil, a, en l’espace d’une décennie, détruit toutes les institutions publiques du pays allant de son économie aux systèmes judiciaire, éducatif, sécuritaire et sanitaire.

Dans sa première émission depuis le début du lancement officiel de la campagne électorale, lundi, M. Bolsonaro a également critiqué la censure de Daniel Ortega, « un autre ami de Lula« , qui a fermé des églises et des stations de radio catholiques. Il a déclaré que le Venezuela, sous la direction de Nicolás Maduro, était désormais « plus pauvre qu’Haïti » et a déploré que l’économie de l’Argentine, gouvernée par Alberto Fernández, soit « sur la pente descendante ».

« La gauche se développe beaucoup dans le monde. À Cuba, des gens sont emprisonnés parce qu’en juillet 2021, il y a un an, il y a eu des manifestations du peuple qui est descendu dans la rue pour réclamer la liberté », a assuré le président de droite en campagne électorale avec des sondages de réélection toujours défavorables.

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