En Haiti, c’est le parfait amour entre le PM de facto, Dr. Ariel Henry et son ministre de la Justice, Me. Bertho (Berthaud) Dorcé, un repris de justice, selon plusieurs organismes de droits humains. Me. Dorcé, impliqué dans une grave affaire de drogue en novembre 1997, a beau aider la coalition PHTK-SDP-MTV-Fusion à mettre sur pied une Cour de Cassation illégale et inconstitutionnelle pour parvenir aux organisations d’un referendum bidon et des élections frauduleuses.
Dimanche 20 mars 2022 ((rezonodwes.com))–Le président du Pérou, Pedro Castillo, a procédé samedi à la prestation de serment de l’avocat Félix Chero Medina en tant que nouveau ministre de la justice et des droits de l’homme, en remplacement d’Ángel Yldefonso, qui a, été « contraint » d’abandonner le poste après avoir été interpellé mercredi par le Congrès.
Peu avant, la présidence péruvienne a annoncé sur ses comptes de réseaux sociaux que M. Castillo fera prêter serment au nouveau ministre, sans toutefois donner plus de détails sur le départ d’Yldefonso.
Le nouveau ministre, un avocat et titulaire d’une maîtrise en droit avec une spécialisation en sciences criminelles, a été auparavant nommé directeur général du bureau du médiateur de la police et, trois mois plus tard, il a pris les fonctions de chef de cabinet du ministère de la défense.
Le départ surprise de M. Yldefonso intervient après qu’il a été interrogé par le Congrès cette semaine au sujet d’allégations selon lesquelles il aurait commis des crimes ou des fautes administratives ouvertes à son encontre lorsqu’il était fonctionnaire d’État.
Yldefonso a nié avoir ouvert des procédures et avoir agi avec négligence lorsqu’il était procureur général adjoint du gouvernement de la région nord d’Ancash, bien qu’il ait reconnu avoir omis des informations dans sa déclaration sous serment en raison d’une « erreur involontaire » qui, a-t-il dit, a été corrigée par la suite.
Le désormais ancien haut fonctionnaire est le deuxième ministre du gouvernement du président Castillo à être interrogé mercredi par le Congrès, qui a d’abord convoqué le responsable de la santé, Hernán Condori, après l’avoir accusé de ne pas être « apte » à occuper ce poste et d’avoir prétendument des produits sans fondement scientifique.