A raison d’une personne tuée violemment en Haiti, en janvier dernier, et comment sera février, le mois de tous les dangers ?
CE-JILAP a signalé plus de 700 morts violentes enregistrés à Port-au-Prince en 2021, un chiffre considérablement plus élevé que les années précédentes.
La Conférence Episcopale Haïtienne (CEH) va-t-elle aussi Déléguer un membre au sein du CEP illégitime d’ariel Henry pour organiser des ‘élections-sélections’ avec les cartes illégales Dermalog?
Mercredi 2 février 2022 ((rezonodwes.com))–Haiti n’a pas fini de compter ses morts et chaque jour qui passe apporte son lot de victimes par balles. C’est toujours le même refrain: « une enquête a été diligentée« , alors que les bandits continuent de semer le deuil dans les familles sous l’indifférence totale des autorités de fait planifiant allègrement le carnaval-coronavirus-kidnapping.
Selon le dernier rapport en date publié par la Commission Episcopale pour la Justice et la Paix (CE-JILAP), plus de 30 personnes sont violemment décédées en Haiti, durant le mois de janvier écoulé. Le document fait également état de plusieurs dizaines de blessés enregistrés dans les quartiers de la capitale et de ses environs, à la même époque.
Madame Jocelyne Colas Noël, directrice de CE-JILAP, a déclaré à la presse que « les victimes ne se comptaient pas seulement dans les zones contrôlées par des bandes armées« , fonctionnant en toute impunité, mais presque partout. Elle a critiqué les autorités gouvernementales de facto qui, selon elle, « ont fait trop peu pour assurer la sécurité des citoyens« .
Face à cette situation actuelle, la Commission épiscopale a demandé au gouvernement et au Conseil supérieur de la police nationale d’adopter d’urgence des mesures visant à endiguer ce phénomène et à promouvoir le respect des droits humains des citoyens.