Un ministre du régime Tèt Kale PHTK 3 qui serait impliqué dans un cas flagrant d’enlèvement, est toujours en poste! Ainsi va Haiti de PHTK avec son lot de crimes et de misère!
Jeudi 16 décembre 2021 ((rezonodwes.com))–Le Centre d’analyse et de recherche sur les droits de l’homme a enregistré 949 enlèvements de janvier (sous l’administration Jovenel Moise-Jouthe/Claude Joseph) à aujourd’hui (Ariel henry-SDP/Fusion) et a déclaré qu’Haïti arrive en tête de la liste des pays ayant le plus d’enlèvements par habitant.
Le rapport, publié mercredi par l’organisation, note une augmentation de près de 20 % de ces cas par rapport à la même période en 2020, où 796 enlèvements ont été répertoriés.
Parmi les victimes figurent 55 étrangers de cinq nationalités, dont les plus médiatisés sont les 17 missionnaires détenus le 16 octobre, par le gang des 400 Mawozo, qui a enfin décidé de libérer deux mois plus tard, les 12 autres, sans qu’on en sache les modalités de ces relaxations.
Le rapport, qui analyse la détérioration de la situation des droits de l’homme dans le pays livré aux gangs fédérés par le régime PHTK 2 (Jovenel Moise|Lafontant-Céant-Lapin-Jouthe-Claude Joseph), note également une augmentation de 19,2 % des meurtres commis par la police, soit un triplement par rapport à 2018.
Il rend également compte des actions des bandes armées cette année, dont les affrontements ont contraint 19 000 personnes à quitter leur domicile à Martissant ou à Bas Delmas, et les ont obligées à se réfugier dans des camps de fortune, sous le regard complice des dirigeants haïtiens peu soucieux du bien-être du peuple.
Des milliers d’entre eux survivent encore dans des conditions précaires, comme le millier de personnes logées dans le centre sportif Carrefour, avec un accès limité à l’eau potable et à la nourriture.
La violence des gangs et les enlèvements ont explosé après l’assassinat du président Jovenel Moïse en juillet dernier. Ce meurtre crapuleux, selon le journal américain New York Times, serait imputable aux « puissants » trafiquants de drogues haïtiens incluant le beau-frère de Michel Martelly et chef de l’ancienne administration PHTK1.
En octobre, sous l’actuel régime PHTK3 (Ariel-SDP-Fusion…), des groupes armés ont restreint la distribution de carburant, forçant la fermeture des écoles, des hôpitaux, des magasins et des institutions publiques et privées, ce qui a entraîné des protestations et des grèves dans tout le pays.
