26 juin 2024
Relation Haiti-RD – Environ 6 000 Haïtiens expulsés de la République Dominicaine de janvier à mai 2021
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Relation Haiti-RD – Environ 6 000 Haïtiens expulsés de la République Dominicaine de janvier à mai 2021

Quelle fierté éprouvent les membres du régime Tèt Kale quand ils se retrouvent à bord d’une table de négociation avec les dominicains ? Samedi dernier, ils ont échangé un cours d’eau pour un fleuve. Quelle stupidité.

Nous swete ke plantè diri Latibonit yo byen konpran’n kisa ki pase nan negosyasyon TiClaude te antame 27 Mé-a ak Dominiken yo… Tout à notre désavantage, sauf Jovenel Moise, le gagnant !

Lundi 31 mai 2021 ((rezonodwes.com))–Quelque 6 162 Haïtiens sans papiers ont été rapatriés cette année par les autorités de la République dominicaine, a rapporté la Direction des migrations.

Elle a indiqué que les opérations qui ont abouti à l’arrestation des étrangers sans papiers ont été menées dans 25 provinces où ils résidaient sans être couverts par un quelconque statut de permis de séjour dans le pays.

« Le rapatriement des étrangers qui résidaient illégalement sur le territoire dominicain a augmenté pendant l’administration actuelle d’Enrique Garcia à la tête de la migration », indique un communiqué de presse, en milieu de la semaine dernière.

Le communiqué précise qu’en janvier de cette année, 1 334 Haïtiens ont été rapatriés, en février 1 179, en mars 2 111, en avril 1 470, tandis que dans les premiers jours de mai 68 ont été rapatriés.

Des inspecteurs des migrations ont participé aux opérations, assistés par des membres de l’armée de terre, de la marine et de l’armée de l’air dominicaine, ainsi que par des représentants du ministère public, de l’environnement et du Corps spécialisé de sécurité touristique (CESTUR).

Les étrangers sans papiers ont été appréhendés dans les provinces d’Azua, Santiago, La Altagracia, Bávaro, Valverde de Mao, Santo Domingo, Nord et Est, Villa Vásquez, Montecristi, Hermanas Mirabal, La Romana, San Pedro de Macorís, Hato Mayor, San José de Ocoa, Peravía, San Cristóbal et autres.

Également dans les points frontaliers de Dajabón et Elías Piña et Pedernales, où des centaines d’Haïtiens illégaux résidaient depuis plusieurs années.

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