Un ex-président du Panama inculpé en Espagne pour corruption et blanchiment d’argent

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en Haïti, la corruption est la principale règle de gouvernance. si’w pa yon kowonpi yo pap apiye’w…

A quand l’inculpation de Jovenel Moise pour « usurpation de titre », blanchiment d’argent et dénonciation de détournement de fond dans le dossier de Petro Caribe et des fonds publics (Caravane du changement…$14 millions AgriTrans [selon Mathias Pierre], kits scolaires…400 millions Gourdes de contrat signé le 25 février 2021 [révèle la Cour]…) Les Haïtiens descendus dans les rues, par centaines de milliers, déclarent haut et fort qu’il ne veulent plus de cet individu ni de son referendum inconstitutionnel.

Au Panama, une firme d’infrastructures a participé à la construction des deux lignes du métro de la capitale, à la transformation de routes et au gigantesque hôpital inachevé connu sous le nom de Ciudad de la Salud, [Hôpital Général en construction en Haïti] dans lesquels des factures surévaluées et des services non fournis ont été détectés, afin de générer les fonds destinés au système de corruption.

Mercredi 7 avril 2021 ((rezonodwes.com))–L’ancien président panaméen Ricardo Martinelli (2009-2014) est accusé en Espagne de blanchiment d’argent et d’avoir reçu des pots-de-vin d’une entreprise de construction de ce pays pendant son mandat, a publié mercredi la presse locale.

La Fondation internationale Baltasar Garzón (Fibgar) a gagné l’appel devant un tribunal de Madrid pour poursuivre la procédure pénale contre Fomento de Construcciones y Contratas, S.A. (FCC) pour des délits de corruption dans des travaux réalisés au Panama, ont rapporté mercredi, entre autres, les journaux La Prensa et La Estrella de Panamá.

Fibgar a reçu le feu vert de la chambre pénale de l’Audience nationale, lorsque le deuxième tribunal central d’instruction de Madrid a rejeté la plainte, considérant que la Fondation ne disposait pas des conditions requises pour porter l’accusation.

Depuis octobre 2020, l’organisation dirigée par l’ancien juge Garzon a impliqué des fonctionnaires du gouvernement panaméen, Martinelli en tête, dans une affaire de collecte présumée de 82,7 millions de dollars illégaux par le biais de sociétés écrans détenant un circuit international de comptes bancaires.

La cour d’appel a assuré « que l’ordonnance du tribunal excluant la responsabilité pénale de M. Ricardo A. Martinelli Berrocal ne peut être ratifiée dans la présente procédure, qui doit également se poursuivre pour lui en tant que défendeur », selon la déclaration de la Fondation citée par La Estrella.

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