interpol : Les notices rouges concernent les fugitifs recherchés dans le cadre de poursuites ou afin qu’ils purgent leur peine. Une notice rouge consiste à demander aux services chargés de l’application de la loi du monde entier de localiser et de procéder à l’arrestation provisoire d’une personne dans l’attente de son extradition, de sa remise ou de toute autre procédure judiciaire.
Mercredi 31 mars 2021 ((rezonodwes.com))–Le gouvernement de facto Moise-Jouthe qui a concocté un faux coup d’état le 7 février 2021, définitivement, serait capable de tous les coups, des coups-bas, tous les stratagèmes, même les plus répugnants et inimaginables, tellement ils disent des choses et font le contraire, et pire encore, par derrière, furtivement. La connerie est sans limite.
« Il n’y a aucun résultat pour votre recherche. Veuillez choisir d’autres critères« , c’est le message relevé sur le site Interpol visité mercredi soir. Nous voulons juste savoir à quel point avancent les recherches lancées par Léon Charles, pour la capture des policiers jugés « dangereux et criminels de Fantôme 509 » par les autoproclamés juges siégeant au tribunal des « bandi legal« . Sur le nombre total de notices rouges publiques en circulation, soit 7 590 au total, pas un seul nom de la liste Léon Charles, figure sur le site d’Interpol affichant jusqu’à 160 notices par recherche.
Les maîtres de Port-au-Prince et amis et homologue de Barbecue assis sur des lauriers roses n’arrivent pas toujours à se rendre à l’évidence. Les Haïtiens, en plein XXI ème siècle et restés fidèles aux idéaux et principes sur lesquels repose la base d’un état de droit à venir, sous l’égide de la Constitution de 1987, n’acceptent et n’accepteront jamais l’imposition d’une nouvelle forme de dictature dans le pays.
Se lancer à la poursuite de policiers syndiqués, sans courir le risque de nous perdre en conjectures, est un acte lâche digne de quelqu’un qui ne se regarde jamais dans un miroir par crainte de l’image convexe projetée, tellement, il ne se parle pas à lui-même. Quel qualificatif accolé au dos des policiers de UDMO qui, un samedi matin de septembre 2020, ont également commis des actes de violence à Port-au-Prince.
En effet, ce samedi-là le 12 septembre 2020, selon divers reportages des médias de la capitale, des agents de UDMO habitués à bombarder le peuple haïtien de gaz lacrymogènes, lors des manifestations de justes revendications sociales, « ont incendié plusieurs véhicules tout en s’assurant que d’autres forces d’intervention rapide soient tenues en respect« . Par la suite, ils ont obtenu gain de cause, car le commissaire Gabriel sur instruction du premier ministre de facto Joseph Jouthe, a été contraint de faire libérer immédiatement les 5 policiers, sans aucune forme de procès.
Dans le cadre de nombreux crimes et atrocités commis en Haïti en toute impunité, qui devrions-nous considérer comme de sales dangereux terroristes et criminels ? Toutefois, des faits soulevés à plusieurs reprises suscitent en nous d’énormes interrogations, pour nous faire une juste idées des méchants circulant sous le ciel d’Haïti ou partir la couler douce ailleurs sous d’autres cieux. Quel est le plus criminel d’entre tous, à notre humble avis : Les usurpateurs de titre y compris des ambassadeurs non approuvés par le Sénat ? Les dilapidateurs des $4 milliards des fonds de Petro Caribe ? L’auteur e intellectuel (le) de l’assassinat de Me. Dorval ? Le Chef Suprême et Effectif des Gangs G9 alliés et an fanmi qui appauvrissent et endeuillent des familles haïtiennes ? Les policiers SPNH 17 ? Les bruyants agents de la PNH affiliés à Fantôm 509 ? Des DG’s et ministres en poste illégalement ?
Les dernières révélations du coordonnateur général du Syndicat de la Police nationale d’Haïti (SPNH-17) Jean Elder Lundy, relatives à l’intégration des éléments au passé douteux au sein de la PNH, pour la plupart membres de l’unité spéciale de Léon Charles « All Black », confirment que l’institution policière est sur une pente dangereuse.
Les »All Black » représentent un corps formé de policiers ripoux, de bandits redoutables, révèle le coordonnateur du SPNH-17, Jean Elder Lundy. Sur les ondes de radio Kiskeya, le responsable de la SPNH-17, évoque une violation des règlements intérieurs de l’institution et les lois portant sur la création et le fonctionnement de la PNH.
Ce corps armé, selon l’inspecteur divisionnaire, opère sous la coupe réglée du directeur général de la PNH, Léon Charles. Ils sont protégés et prêts à exécuter les quatre volontés du haut-commandement de l’institution policière.
