Vendredi 25 novembre 2016 (rezonodwes).- On critique, on étripe tout le monde. mais quand il s’ agit de faire son auto critique, de dresser le constat de nos errements et erreurs, on a recours à toutes sortes d’ artifices. on sort le stock de dénigrements pour éviter de se regarder en face
Le secteur » Presse » fait depuis longtemps face à des problèmes structurels, cela il faut être aveugles pour ne pas le concéder , mais les agissements hors cadre des uns et des autres ont contribue à aggraver la vulnérabilité du secteur
Tout nous éclate au visage à la faveur de ces élections , pour la simple et bonne raison qu’ on s’ est toujours refusés à aborder les problèmes et à jouer à l’ autruche
Maintenant nous voici à ce carrefour crucial, nous entendons encore poursuivre dans la même voie:
Daly Valet a dresse un constat, partagé sa lecture du problème.
Et nous voilà comme des » chiens enragés » et à l’ instar de ces connards de politiciens d’ extrême droite et d’ extrême gauche prêts à l’ éventrer.
Je me fous de ses motifs personnels, tout le monde en a !
Ce qui me préoccupe c’ est le futur du métier
Valet a l’ autorité comme tout autre journaliste de dire ce qui ne va pas .
qu’ il choisisse de le dire avec des mots doux ou » crus » cela le regarde!
Nous devons cesser ces chicaneries, ces enfantillages
Il n’ a fait état d’ aucune personne spécifique dans son texte
Pourquoi se sentirait on » morveux »?
Alors si tel est le cas que l’ on se mouche!
Bay moun lape yo!
J’ en ai plus que marre de ne pas pouvoir poser les problèmes inhérents au secteur sous prétexte que tel ou tel confrère le prendrait mal !
Les problèmes du secteur ne devraient plus être » tabou »
Les linges sales sont sur la placé publique étalés au vu et au su de tous
Alors attardons nous plutôt au triage et à si possible refaire la lessive »
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