De leur côté, les Etats-Unis ont pris des dispositions nécessaires pour contrecarrer toutes interférence et ingérence russe ou chinoise dans les présidentielles du 3 novembre à venir. Notons qu’aucun ambassadeur accrédité à Washington, incluant celui d’Haïti, n’est nullement habilité à commenter en public les présidentielles américaines, voire opiner ou émettre des communiqués « au nom du partenariat« , comme Claude Joseph se plaît à répéter.
Vendredi 4 septembre 2020 ((rezonodwes.com))–Le gouvernement vénézuélien a dénoncé vendredi une nouvelle manœuvre des États-Unis visant à s’ingérer dans les élections législatives du 6 décembre, en imposant des mesures coercitives à l’encontre des représentants des institutions vénézuéliennes.
Dans un communiqué publié par le ministère des Affaires Etrangères, l’exécutif bolivarien a rejeté l’application des mesures prises à l’encontre de la présidente du Conseil national électoral (CNE), Indira Alfonzo et du procureur général de la République, Reinaldo Muñoz.
« Aucune pression extérieure ne pourra empêcher le peuple vénézuélien d’exercer son droit de vote et de décider de son destin de manière souveraine« , a souligné Caracas, rejetant la politique d’ingérence de l’administration américaine de Donald Trump.
Les autorités de Caracas ont réitéré la volonté du peuple vénézuélien de forger son propre avenir dans la démocratie et la paix ; « aucune menace liée au désespoir et à l’échec de la Maison Blanche ne mettra un frein au plein exercice de nos garanties démocratiques« , conclut le communiqué.
