Que viendrait-il un jour nous apprendre au sujet de Jovenel Moise, un gouvernement au sein duquel M. Alexis gère assez bien la section de propagande bien qu’au dernier moment il abandonne une partie du sale boulot au Docteur Claude Joseph, pour faire dire ce que le président a dit n’est pas ce qu’il voulait dire. Et pourquoi M. Alexis n’oriente pas ULCC vers Michel Martelly, Laurent Lamothe…, en ce sens, ces deux entités – Ucref et Ulcc -, pourraient enfin se montrer utiles ?
M. Alexis le sait-il également que son patron, Jovenel Moise, selon le rapport de la Cour des Comptes, n’a JAMAIS exécuté un projet d’infrastructures routières pour lequel il a reçu tout le montant après l’usage de « stratagème » et « d’usurpation de titre » ?
60 à 80% du budget annuel 2015-2016 exécuté en 4 mois par Martelly-Evans Paul…
Mercredi 5 août 2020 ((rezonodwes.com))–Flashback–https://rezonodwes.com/2016/06/21/jackson-alexis-75-des-projets-finances-sous-martelly-sont-inacheves-ou-jamais-executes/
Jackson Alexis : 75% des projets financés sous Martelly sont inachevés ou jamais exécutés!
Question à Eddy Jackson Alexis : »Les déclarations de l’ex-ministre de la Jeunesse à propos des 25 stades Lamothe-Olivier Martelly sont-elles fondées ? » Well, if you dare say it loudly in 2020.

Porte-parole de Jocelerme Privert – nèg ki enplike nan dosye masak Pikvè nan Sen Mak – personne n’est mieux placé que Eddy Jackson Alexis en 2016, pour parler de l’état des caisses publiques laissées par Michel Martelly, le régime Tèt kale en général dont il fait partie aujourd’hui.
Rezo Nòdwès, 21 juin 2016 – C’est dans une atmosphère empreinte de sérénité que le président intérimaire Jocelerme Privert attend la tenue de la séance en Assemblée Nationale, mardi après-midi, a confié à Radio Caraïbes, Eddy Jackson Alexis, une voix autorisée de la présidence. Il ajouta, rapportant les propos de Privert, que le vote des Parlementaires doit aller dans le sens de la « stabilité pour préserver les acquis du 14 février ».
M. Alexis a rappelé que M. Privert assume à son arrivée le 14 février dernier, à la tête de l’Exécutif, un lourd héritage avec 60 à 80% du budget annuel déjà débloqué et dépensé en moins de quatre mois (octobre 2015 à janvier 2016) par l’administration Martelly-KP. L’actuel gouvernement fait le cash management avec les recettes fiscales récoltées au quotidien. Pour le porte-parole, les dépenses deviennent plus rationnelles.
Interrogé sur la mémorable journée du 21 juin 2016, M. Alexis a clairement laissé entendre que c’est « avec sérénité que la journée est abordée », il a poursuivi que les élections en fin d’année en dépendent grandement avec cet acquis du 14 février. Il en a profité pour faire l’éloge des nouveaux membres du CEP (un fruit de concertation) dont l’intégrité morale ne saura jamais être remise en cause, avec un calendrier bien arrêté pour des élections des plus crédibles.
La question de neutralité de Privert qui soulève la chair de poule dans les camps adverses et même des anciens cavaliers d’hier, fut soulevée durant ce bref entretien. Pour le porte-parole, il revient uniquement à l’Exécutif, les coordinations logistiques et que c’est au CEP, la seule instance décisionnelle de mener à bout le processus électoral. S’il en est besoin, Eddy Jackson Alexis rappela le comportement à l’écart de Jocelerme Privert dans l’exécution des activités de la commission d’évaluation (CIEVE) qui fut une nécessité pour restaurer la confiance des acteurs. Quoi de plus belle comme preuve de neutralité de Privert, a-t-il insisté.
Selon le porte-parole adjoint de la présidence provisoire, le vote du mardi devrait être le reflet manifeste de la position des leaders des partis politiques rencontrés. Ils souhaitent presque tous aller vers un avancement du processus et non au retour en arrière. Le calme des rues est nécessaire pour garantir aussi une stabilité économique, a avancé M. Jackson.
Il a rappelé pour couper court aux rumeurs que le Palais National, en-dessus des mêlées, n’a aucun intérêt à voir boycotter la séance du jour tant souhaitée par le président Privert. Ce dernier, selon M. Jackson, veut sortir le pays de « cette incertitude régnant depuis le 14 juin dernier ». C’est à la tribune de l’Assemblée que seront discutées et défendues toutes les conquêtes du 14 février 2016, avec leur bien fondé.
Tout en tenant à remercier la population de leur support et de leur patience, le porte-parole avance certains faits étonnants empêchant la continuité ou l’exécution de certains travaux d’infrastructure. Il a relevé que sous l’administration Martelly-Lamothe-Evans Paul, 75% de projets financés ne sont pas achevés ou ne sont jamais exécutés. C’est, d’après lui, l’une des grandes contraintes que gère également Jocelerme Privert ajoutant à son bon vouloir et engouement de finaliser le processus électoral dans l’impasse depuis le 24 janvier dernier, suite aux résultats contestés du 25 octobre 2015.
À rappeler que le président Privert dont le sort est lié au vote des parlementaires dont plus d’une quarantaine « mal élus » devant être placés en quarantaine pour investigations par le CEP, est un cas d’une situation exceptionnelle en Haïti. Pour la première fois, on assiste à un parlement en fonction avec un gouvernement provisoire. Chose rarissime dans un pays devenu la risée de tous, pour ses méthodes d’exception avec la décision d’un parlement qui, lui-même, fait partie du problème, un véritable nœud gordien.
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