Mexico|Crimes financiers ($239 millions) – L’ex-patron de PetroMexique (Pemex) quitte l’hôpital avec le port d’un bracelet électronique de surveillance

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Seulement $239 millions en jeu, imaginons les milliards de Petro Caribe détournés et que ces hommes font encore la loi en Haïti ?

La majorité des haitiens rêvent quand Haïti deviendra un jour un PAYS, dans le sens propre de la terminologie, de voir tous les indexés dans la dilapidation des fonds de Petro Caribe – Michel Martelly/Laurent Lamothe/Jovenel Moise/Wilson Laleau/Jean Max Bellerive/Jocelerme Privert…- répondre de leurs actes devant la JUSTICE avec menottes au poignet et ou bracelet électronique de surveillance, à défaut de se retrouver loin de l’odeur nauséabonde des cahots du pénitencier national.
Ces DIX HOMMES NOIRS à eux seuls auraient fait autant de tort à Haïti que la France n’en a fait avec sa dette de l’Indépendance imposée en juillet 1825, encore moins les accusés dans le Procès de Consolidation au début du XXè siècle…

L’ancien patron de PetroMex est accusé par la justice mexicaine de crimes financiers, d’opérations avec des ressources d’origine illicite, de corruption et d’association de malfaiteurs.

Samedi 1er août 2020 ((rezonodwes.com))–Accusé de deux affaires judiciaires pour crimes financiers, l’ancien directeur de Petroleos Mexicanos (Pemex), Emilio Lozoya Austin, a quitté samedi l’hôpital où il était gardé en détention, portant un bracelet électronique de surveillance.

L’ancien chef de Pemex a quitté l’hôpital Angeles del Pedregal à Mexico et doit se rendre samedi au Reclusorio Norte pour signer le registre des accusés, ce qu’il doit faire systématiquement pendant sa liberté conditionnelle.

Lozoya a quitté l’hôpital sous la garde de la police fédérale ministérielle après 14 jours de détention, et a participé virtuellement à deux audiences judiciaires au cours desquelles il a été notifié des charges retenues contre lui et de son implication dans le procès pour responsabilité présumée dans les crimes d’opérations avec des ressources d’origine illicite, de corruption et d’association de malfaiteurs.

L’ex-patron de Pemex est obligé d’aller signer le registre des prévenus devant l’Unité des mesures de protection qui dépend de la Garde nationale, afin de ne pas perdre les avantages qui lui ont été accordés par les juges fédéraux à la demande du ministère public, comme sa liberté sous surveillance au moyen d’un bracelet électronique, sinon il se retrouverait en prison.

En ce qui concerne l’affaire Odebrecht, il lui est reproché d’avoir octroyé des contrats de travaux publics qui ont généré un bénéfice de 39 millions de dollars et, dans le second cas, d’avoir promu et autorisé l’acquisition d’une plante agronitrogénée pour 200 millions de dollars avec une prime.

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