9 novembre 2025
Clarens Renois : Les médias ne doivent plus donner la parole aux « criseurs »!
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Clarens Renois : Les médias ne doivent plus donner la parole aux « criseurs »!

Port-au-Prince, mardi 14 juin 2016 (rezonodwes).- L`ex-candidat à la présidence du parti UNIR, Clarens Renois déclare qu`il a assez de constater que l`agissement des politiciens continue à nous faire passer pour des cannibales aux yeux des étrangers, à cause des pratiques de violence tout a fait dépassées.




L`ancien journaliste vedette de Métropole a conseillé aux responsables de média de ne plus donner le micro à des « criseurs », mais à des hommes porteurs d`idées nouvelles pouvant aider à la mise en marche d`un agenda favorable à la satisfaction des besoins de la population.

Clarens Renois est avant tout connu du grand public en tant que journaliste. Il a étudié à la faculté des Sciences humaines, à la faculté de droit (inachevé) et a également suivi des sessions de formations aux Etats-Unis et au CFPJ, en France. Pendant longtemps, il a été présentateur de journal et d’émissions à radio Métropole et à Télémax ; il a aussi assuré dans le temps la correspondance pour RFI en Haïti.




Présentement, il dirige la HPN (Haïti Presse Network) qui est un média en ligne qu’il a fondé, en même tant qu’il est l’actuel correspondant de Agence France Presse en Haïti. Ayant plusieurs cordes à son arc, on se souviendra d’un Clarens Renois acteur, qui a joue dans deux feuilletons radiophoniques à succès, Woy ! Les voilà !, de Mona Guérin et VIP de Sophia Désir. Partageons dans cette édition ses lectures.

2 Comments

  • stephan 14 juin 2016

    This is a very sound intellectual of the country. It is too bad he was not elected as Haiti’s president

  • Dr. Mackington Joseph 16 juin 2016

    I respect the man and high caliber journalist, personified in Clarens Renois. However, the solicitation that « the media should no longer give a voice to the ‘criseurs' » is personal and very hypocritical as the inquiry goes against what Clarens lured his audience to believe directly and/or indirectly through his positions and interventions as a journalist (several decades), and standup politician (recently).

    The truth of the matter is that, at will or incidentally, media waves cannot, as seems implied Clarens’ message, be open to parties only because or if they align with the whims, preferences, philosophy and political views that seem to converge with the controllers, managers, or manipulators what gets to be aired. While the social, political, and economic conditions of Haiti are deplorable, suggesting or making the blatant choice of not sharing a selection of events a group of individuals want to denude because one qualifies it barbaric or cannibalistic is nothing short of autocratic, authoritarian, and egotistic.

    Ultimately, within the systematic and structural precepts established by the Government of Haiti, everyone, protestors, and opponents or not should have the unalienable right to air their views, unveil the conditions of the country (may they are gruesome or not) using any media system of their choice (from what is available). After all, is it not one of them Clarens is using now to air his frustrations?

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