L’institut mobile d’éducation démocratique, IMED, n’entend pas se faire représenter à la commission d’évaluation électorale, une entité réclamée à cor et à cris par différents paritis politiques et organisations du secteur des droits humais et de la société civile.
Selon la directrice exécutive de l’IMED, Kettly Julien, aucun des organismes de droits humains ayant observé les élections ne devraient faire partie de la commission, pointant du doigt particulièrement la POHDH dont les responsables, selon elle, n’ont aucune moralité pour avoir fraudé dans le cadre de la désignation du représentant de ce secteur au nouveau CEP.