24 octobre 2025
Haïti — Rapport trimestriel de l’ONU : un constat accablant pour le CPT, incapable d’assurer la gouvernance et encore moins des élections crédibles
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Haïti — Rapport trimestriel de l’ONU : un constat accablant pour le CPT, incapable d’assurer la gouvernance et encore moins des élections crédibles

Port-au-Prince, 24 octobre 2025 — Le neuvième rapport trimestriel du Bureau des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC) dresse un bilan sévère de la situation haïtienne, qualifiant la crise d’« escalade systémique » sous la supervision du Conseil présidentiel de transition (CPT).
Le document, jugé hautement symbolique par sa portée diplomatique, décrit un pays livré à l’emprise des gangs, dont près de 90 % de la capitale est désormais sous contrôle criminel.

Alors que le CPT, – fruit de l’ONU, Binuh, Caricom, Core Group… – continue d’affirmer vouloir organiser des élections “honnêtes et crédibles” sans jamais présenter un calendrier electoral, l’ONU constate au contraire une désagrégation complète des institutions, un effondrement du contrôle territorial et une explosion des trafics — drogue, armes et migration illégale — sur les principaux axes reliant Saint-Marc à Belladère.

Le rapport souligne que cette dérive compromet tout cadre électoral légitime : absence d’autorité judiciaire, corruption systémique et incapacité de l’État à garantir la sécurité des urnes.
Les observateurs internationaux y voient la confirmation, sans le relater directement, que le CPT n’a ni les moyens politiques ni la légitimité institutionnelle pour diriger un processus électoral crédible.

En conclusion, l’ONU appelle à une refondation profonde des mécanismes de gouvernance avant toute consultation populaire, avertissant que toute élection tenue dans les conditions actuelles ne ferait que prolonger le chaos et renforcer les réseaux criminels. Un avis partagé par la majorité de la population souhaitant ardemment le d

En conclusion, l’ONU appelle à une refondation profonde des mécanismes de gouvernance avant toute consultation populaire, avertissant que toute élection tenue dans les conditions actuelles ne ferait que prolonger le chaos et renforcer les réseaux criminels. Un avis partagé par la majorité de la population souhaitant ardemment le départ de cette équipe au beau matin du 7 février 2026.

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