L’Organisme de défense des droits humains (ECCREDHH) croit que la sécurité d’un pays est une affaire d’État. Et quand des hommes et des femmes qui occupent des fonctions importantes et officielles de l’État renoncent à leurs responsabilités, les citoyens paient les frais.
À titre de rappel, le Premier ministre de facto, Monsieur Alix Didier Fils-Aimé est aussi au premier rang du Conseil de sécurité de la Police nationale (CSPN).
En effet, la responsabilité globale de la sécurité du pays repose sur le Premier ministre de facto, Monsieur Alix Didier Fils-aimé. Il préside le Conseil de sécurité de la Police nationale (CSPN) et supervise les actions de la Police nationale d’Haïti (PNH) pour maintenir l’ordre public et lutter contre la criminalité.
Le chef du Conseil supérieur de la Police nationale CSPN, en l’occurrence Alix Didier Fils-Aimé, est de fait responsable de la direction et de la supervision de la Police nationale PNH. Ceci étant dit, qu’il veille à ce que la sécurité publique soit au premier rang. En deuxième lieu, il assure le maintien de l’ordre public. C’est-à-dire qu’il assure l’ordre public, de la protection des personnes et des biens, et de la lutte contre la criminalité.
Le chef du (CSPN) est chargé de coordonner les efforts pour lutter contre les formes de criminalité organisées, et faire en sorte que la crise soit gérée. À savoir, prendre des mesures appropriées pour faire face à la situation actuelle.
Maintenant, si le pays en entier se trouve dans cette insécurité grandissante en exposant la vie de nos citoyens, particulièrement la vie de nos vaillants policiers, la responsabilité revient à qui ?
Plusieurs policiers ont été assassinés à Liancourt dans le département de l’Artibonite par faute des mesures adéquates prises par le chef du Conseil de sécurité de la Police nationale CSPN.
Par conséquent, l’organisme de défense des droits humains (ECCREDHH) affirme que ces pertes prouvent sans doute que le premier ministre actuel, qui assure aussi la fonction du chef du CSPN, n’a aucune velléité pour adresser la question de sécurité nationale.
Quelle est la raison d’être de cette structure au final, si elle ne peut en aucun cas planifier et assurer la sécurité du pays?
Par ailleurs, l’organisme de défense des droits humains (ECCREDHH) profite pour présenter ses condoléances aux familles de ces braves qui sont tombés sur le champ de bataille à cause de ces
traîtres au plus haut niveau de l’État. Ces crimes odieux reposent directement sur le chef du Conseil de sécurité de la Police nationale CSPN, monsieur Alix Didier Fils-Aimé.
L’Organisme de défense des droits humains (ECCREDHH) continue à appeler à la mobilisation citoyenne qui est un devoir, lorsque le droit à la vie, à la sécurité, entre autres les droits humains ne sont pas garantis.
« La mobilisation est un devoir citoyen, lorsque les droits humains sont violés ».
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