Dans la journée du 24 décembre, l’Hôpital général de Port-au-Prince a été attaqué par des gangs criminels, faisant plusieurs victimes, dont des journalistes et des policiers.
Le Dr Duckenson Lorthe Blema, ministre de la Santé publique, qui a conduit la presse à la boucherie, a été révoqué de ses fonctions à la suite d’accusations de « collusion dénoncée avec ces groupes criminels terroristes« , en cherchant à faire son second show médiatique.
Selon Pierre Espérance du RNDDH, M. Blema aurait chargé une amie proche, Rosemilla Petit-Frère, membre de la défunte coalition Tèt Kale 3/Fusion-SDP 21 décembre, de négocier avec les criminels terroristes afin de faciliter la « réouverture » de l’hôpital, toujours dépourvu d’infrastructures adéquates, pour un centre hospitalier de référence.
Patrick Pellissier a été désigné ministre de la Santé par intérim.