Dans son article intitulé « SALIM SUCCAR, L’AVOCAT CONVERTI EN TRAFIQUANTS D’ARMES », M. Jean Sénat Fleury présente un récit empreint de diffamation et d’insinuations malveillantes. Cette réponse vise à éclairer les lecteurs et à rétablir la vérité face à des accusations gratuites et non fondées.
Caractère diffamatoire et revanchard de l’article
Il est évident que l’article de M. Fleury relève davantage d’une tentative de règlement de comptes personnel que d’une analyse objective. Son ton revanchard transparait clairement, notamment lorsqu’il tente de lier mon nom à des actes criminels sans fournir la moindre preuve concrète. Cette attitude n’est pas étonnante venant d’un individu qui, par le passé, a tenté de salir la mémoire de figures respectées comme feu Louis Gary Lissade. Ces attaques systématiques contre des professionnels reconnus démontrent une volonté de nuire, bien plus qu’un souci de vérité.
Fourberie et fausses accusations
M. Fleury tente maladroitement de créer des liens inexistants entre les actes de violence perpétrés en Haïti et mon travail de conseil juridique. Il est important de rappeler que toutes ces accusations gratuites ont été clairement réfutées. Mon rôle en tant qu’avocat a toujours été de fournir une assistance légale conforme à la déontologie et aux lois en vigueur. En dépit des tentatives de diffamation, tous les observateurs objectifs reconnaissent le caractère fallacieux de ces affirmations.
Un avocat reconnu pour son intégrité
Mon engagement envers la justice et l’état de droit est attesté par la reconnaissance annuelle de notre cabinet Lissade Succar parmi les meilleurs cabinets d’avocats d’Haïti, classement réalisé par la firme indépendante internationale Chambers and Partners. Cette distinction reconnait et récompense l’excellence de notre travail et notre engagement envers nos clients, qu’ils soient des entreprises ou des particuliers.
Une réflexion sur la situation actuelle en Haïti
Plutôt que de chercher des boucs émissaires, les faux prophètes comme M. Fleury devraient se tourner vers les véritables responsables de la situation dégradée en Haïti. Leur promotion d’un agenda radical et extremiste a contribué à l’affaiblissement économique de la classe moyenne et à la destruction des valeurs morales fondamentales qui faisaient d’Haiti la perle des antilles. Ce financement à peine voilé et cette tolérance envers une violence aveugle ne trompent personne. Le peuple haïtien et sa mémoire collective restent vigilants face à ces stratagèmes et ces actes terroristes et tranchera en temps et lieu opportun.
Pour terminer, les accusations de M. Fleury sont non seulement infondées, mais elles relèvent clairement d’une stratégie d’intimidation qui n’aboutira pas . Je reste fermement engagé à défendre l’état de droit et à exercer ma profession avec intégrité. J’invite encore une fois les lecteurs à rejeter ces allégations diffamatoires et à se concentrer sur les efforts collectifs nécessaires pour rebâtir une Haïti prospère et juste.
Salim SUCCAR, Avocat