Garbage in Garbage out.
La coercition exercée par la CARICOM sur la classe politique haïtienne, afin de les pousser à endosser des accords et des MOU illégaux, inconstitutionnels et invalides (selon la Haute Cour de Nairobi), confirme la volonté des architectes du plan kenyan de déployer une force étrangère pour dissimuler des infractions et protéger des bandits, notamment les assassins du président Jovenel Moise.
Des infractions sont en train de se commettre au moment de la rédaction de cette représentation, et le Haut-Commissaire Volker TURK le sait ; Monsieur Biden le sait ; Antony Blinken le sait ; Linda Thomas-Greenfield le sait ; Lloyd Austin le sait ; les signataires du Collège Présidentiel le savent. Il s’agit d’une interférence électorale à la source et d’un plan visant à distribuer des postes à des partis politiques tellement souillés par le processus en cours de la CARICOM, qu’ils n’auront d’autre choix que de persévérer dans la corruption, telle qu’elle a été mise en lumière aux yeux du monde entier par la CARICOM et ses membres.
Et comme cela a été le cas pour Juan Gaido (Venezuela), Jovenel Moise, Leon Charles, Guy Philippe, Laurent Lamothe, les sénateurs et les députés « poudrés », ils seront tous lâchés avant les résultats des élections. Ils seront accusés de corruption par leurs propres corrupteurs : comme une lettre à la poste. Le peuple haïtien vous donne 48 heures pour vous munir des documents suivants :
(1) L’arrangement Heny-Biden-Ruto pré-résolution 2699 ;
(2) le MOU Biden-Henry (via Leon Charles, Frantz Elbé et Emmelie Prophète-Milcé),
(3) l’accord de réciprocité Henry-Ruto (servant de distraction aux évasions des prisonniers du Pénitencier National) ; et tout autre document illégalement signé par M. Henry. La suite est évidente.
Vous auriez dû exiger ces documents au cours de vos négociations secrètes, Monsieur Eric Stroymayer, avant d’exhumer Ariel Henry de sa tombe à San Juan, Puerto Rico. Il ne peut y avoir d’élections libres et démocratiques issues de ce processus auquel vous vous êtes sciemment engagés, puisqu’il est entaché de corruption. Les mercenaires américains avaient raté leur coup, alors que le Premier ministre Céans était visé (selon ses propres déclarations).
La banque centrale est encore visée et ciblée. Nos réserves d’or sont-elles en Haïti ?
Le parquet de Port-au-Prince : pillé ; le Pénitencier national : déserté ; la banque centrale : ciblée. Il suffit de 4 drones qui coûteraient moins de 2 000 dollars pour créer la dissuasion nécessaire pour protéger ces sites. Où sont les amis du peuple haïtien ? J’ai commencé à collecter des données et à les cartographier. Les images seront transmises aux instances internationales concernées, à toute fin utile. Ma démarche consiste à démontrer ce qui aurait dû être fait et ce qui est encore possible.
Dr. Berg P. Hyacinth
