Ariel Henry bat tous les records de chef de gouvernement de doublure haïtien illégitime et de facto et est accusé, avec la complicité des gangs, d’avoir fait autant de mal aux Haïtiens que le tremblement de terre du 12 janvier 2010.
-Pour la deuxième journée consécutive, l' »Operasyon femen pot leta » se poursuit dans la métropole de la Grande Anse alors que toute la nation commémore vendredi le 14e anniversaire du séisme dévastateur du 12 janvier 2010, qui a entraîné la mort subite de centaines de milliers de compatriotes, pour la plupart sans sépulture.
« Ariel Henry, c’est fini, il n’y a pas de place pour lui à la Primature », ont scandé les manifestants, qui ont forcé les bureaux publics à baisser leurs rideaux de fer. Pour les Jérémiens, les jours d’Ariel Henry et de ses alliés Inite, SDP, RDNP, Fusion, EDE… sont comptés, d’autant plus que, selon eux, » l’Accord du 21 décembre 2022 ne tient plus la route « .
Contrairement aux Gonaïves où la police a étouffé dans l’œuf l' »Operasyon femen pot Leta » jeudi, à Jérémie, les manifestants ne sont conduits dans les rues que par les organisateurs du mouvement qui jurent de « mettre le système et Ariel Henry sens dessus dessous ».
Un circuit sonore d’un collaborateur de Matin-Debat à Jérémie signale qu’aucun incident fâcheux ne s’est produit jusqu’à présent.

