Mais comment peut-on identifier un assassin ? Est-ce que Joseph MengelE ou François Duvalier ou ROGER LAFONTANT avaient l’apparence d’assassins ?
Edmonde Beauzile, agissant comme la principale avocate d’Ariel Henry, a pris la parole pour affirmer l’innocence de son client, concluant ainsi le dossier. La question demeure : si le juge d’instruction maintient véritablement son indépendance et son pouvoir discrétionnaire, se verra-t-on un jour en présence de l’ancienne sénatrice Beauzile présentant des excuses à la nation pour son rôle marquant dans l’incursion de forces étrangères sur le territoire national ?
Flashback, 1e septembre 2021
Jeudi 3 aout 2023 ((rezonodwes.com))–
Il était un jour où les vents tumultueux de l’accusation soufflaient fort sur la personne d’Ariel Henry, Premier ministre de facto d’Haïti par un tweet. Pardon par un X. Edmonde Supplice Beauzile, la présidente du parti Tèt Kale #3/Fusion des sociaux-démocrates haïtiens, se dressa comme un rempart inébranlable pour défendre l’honneur de ce médecin respecté.
Dans les jours sombres qui suivirent l’assassinat tragique de Jovenel Moïse, le pays tout entier était en proie à l’incertitude et à la suspicion. Les regards étaient dirigés vers Ariel Henry, qui venait tout juste de prendre les rênes du pouvoir en tant que Premier ministre sans assermentation et ratification par le parlement. Les murmures de doutes se transformèrent en accusations, le liant à l’un des présumés assassins du président défunt, Joseph Félix Badio. Le chef de gang Vitelhomme Innocent a, plus tard, vendu la mèche.
Mais au milieu de la tourmente, une voix émergea avec une conviction inébranlable. Edmonde Supplice Beauzile, une figure respectée dans la scène politique haïtienne, s’exprima avec fermeté sur les ondes de Magik9. « Ariel Henry est un médecin respecté. Il n’est pas un assassin« , déclara-t-elle avec une force qui semblait couper à travers l’atmosphère chargée.
Tel un éclair de lumière dans l’obscurité, ses mots tranchants semblaient fendre le ciel nuageux de suspicion. Elle ne se retint pas dans sa défense du Premier ministre, repoussant les accusations – comme un vrai Maitre André Michel – qui planaient telles des ombres menaçantes. « Je le dis à toutes les personnes qui veulent salir son image qu’ils dévoilent leurs intérêts. Que ce soit Pierre Espérance ou Renand Hédouville« , insista-t-elle, révélant ainsi les noms des accusateurs qui semblaient jeter l’opprobre sur Ariel Henry.
L’Office de protection du citoyen (OPC) – nèg woule’m de bò – avait appelé à la démission d’Ariel Henry, ajoutant une couche supplémentaire de pression sur ses épaules déjà chargées. Pierre Espérance, par le biais du RNDDH, avait également jeté de l’huile sur le feu en l’accusant d’être en collusion avec l’un des présumés assassins de Jovenel Moïse, Joseph Félix Badio, dont le nom figurait dans le rapport de la DCPJ.
Mais dans ce moment crucial, Edmonde Supplice Beauzile se dressa comme une force immuable, brandissant la réputation d’Ariel Henry comme un bouclier contre les flèches de la méfiance et de l’accusation. Sa défense ardente avait un impact profond,s’est-elle mise en tête, rappelant à tous que les apparences peuvent être trompeuses et que la vérité ne peut être éclipsée par l’ombre des allégations. Mais le monarque a toujours refusé de comparaitre devant le juge instruisant le dossier du magnicide du 7 juillet 2021.
Ainsi, à travers le tumulte des accusations et des soupçons, Edmonde Supplice Beauzile marqua ce jour comme un rappel de l’importance de la présomption d’innocence et de la nécessité de laisser la justice démêler les fils complexes de la vérité qui vient avec des preuves et non des paroles en l’air pour conserver des postes avec des avantages bab ak moustach.
