Ariel Henry pour la millième fois et une déclare « ‘instruire les forces de l’ordre de poursuivre le matraquage des bandits en vue de les mettre hors d’état de nuire« .
Dimanche 21 aout 2022 ((rezonodwes.com))–Comme si, à son avis, ses mots allaient peser fort dans la balance des sympathies, Dr. Ariel Henry, installé à la Primature au mépris de la Constitution et des lois haïtiennes, a attendu plus de 24 heures après les lamentations d’un des membres influents du Core Group, pour enfin se prononcer sur le grave incident survenu samedi matin à Tabarre.
M. Henry qui pour la énième fois, »renouvelle sa ferme détermination à combattre sans répit l’insécurité« , un jeu de mots retrouvés sur ses lèvres depuis plus d’un an, a déclaré avoir « condamné énergiquement ce crime odieux ». Ce même discours, souligne Dr. Josué Renaud de NERHO, « est tenu à chaque fois qu’un des cerveaux utiles au pays beaucoup plus qu’Ariel Henry, un esclave mental, tombe sous les balles assassines des bandits opérant en toute impunité pour le compte du régime PHTK« .
« Je suis révolté par la nouvelle de l’assassinat de plusieurs compatriotes par des bandits armés opérant à Tabarre. Le Gouvernement condamne énergiquement ce crime odieux, tout en présentant sa sympathie aux parents et amis des victimes« , a tweeté Ariel Henry dimanche soir à 07:46 alors que l’assassinat regrettable des jeunes filles et leur maman a lieu tôt samedi matin.
Les deux sœurs et leur mère ont été tuées, puis brûlées dans leur véhicule, dans la matinée du samedi 20 août, dans une offensive des membres d’un gang à Cité Doudoune, entre Croix-des-Bouquets et Tabarre.
Ariel Henry, inapte à diriger le pays et accusé de participer à l’assassinat de l’ex-président Jovene Moise, en dépit d’un bilan négatif de ses 13 mois de gestion à la tête du pays, signe et persiste qu’il ne bougera pas de la Primature, selon le plan établi par ses tuteurs, tant que la Nation ne s’effondre complètement et que les bruits des bottes étrangères arrivent à résonner sur le territoire de Dessalines jusqu’à l’organisation de la troisième tragédie électorale PHTK-SDP-Fusion.