Haïti : Familles, alliés détraqués ; familles et fous à lier !

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Triste constat ! En ce règne sociopolitique bancal dominé par d’anciens rats du sénat, des députés renégats, un pastorat scélérat, des « boujwa awousa» et des magistrats malfrats, le mandat suprême de la justice est constamment profané. Véritable branlebas !

Dimanche 15 mai 2022 ((rezonodwes.com))–

Élite économique répugnante constituée de brasseurs et de contrebandiers impassibles à la douleur d’autrui, impotence officielle face aux affaires louches; le système bancaire est truffé de mercenaires au faux air de régulateurs. À la vérité, les gouverneurs flagorneurs de cette décennie de médiocratie rancie sont trônés en poste en contrepartie de la protection des dilapidateurs et des faussaires du pouvoir perturbateur du PHTK.

Sauf informalité entière, il ne peut s’opérer au sein du système une opération financière substantielle sans que la Banque des banques ne soit avisée. Malheureusement, notre épave banque centrale de la Rue Pavée est au service d’une flopée de familles mafieuses. Le blanchiment d’argent est perpétré sur toutes les formes, par toutes les couleurs !

Tout bouge decrescendo ; à l’envers, de travers, à contre-sens, sens dessus-dessous, dans un décor d’enfer ; de mal en pis. Toutes les institutions sacrées sont délabrées. La société en pâtit des orteils jusqu’aux cheveux. Les trois pouvoirs servant de repaire de bandits notoires, la jeunesse vit sans repère. À la place de balles en cuir, c’est plutôt l’alternative de balles en métal et des manches longues que notre société gangstérisée offre aux jeunes pour occuper leurs mains talentueuses et laborieuses d’outils suicidaires en vue de gagner leur pain quotidien en des acrobaties périlleuses autodestructrices.

Des « grands noms », faux-noms, « sans-noms », prétendus Pharaons, « grandons », barons (de la drogue) ; de nombreuses franges de la société sont impliquées dans le commerce illicite d’armes, de kidnapping, de cocaïne. Les entités sont dépravées par la faute capitale de laisser trôner de véreux sans-aveu aux positions sacrées de la Cité. Manège électoral biaisé, Sola nous a heurtés d’un coup mortel au coût décennal abyssal. Les répercussions politiques post-sismiques semblent avoir eu des effets plus catastrophiques que les chocs post-traumatiques de l’évènement du 12 janvier 2010 en soi. 

La débâcle

La femme aux yeux bandés aura vu de toutes les couleurs au cours de cet empire décennal atypique des véreux farceurs, fraudeurs et imposteurs installés aux fauteuils stratégiques de la république historique humiliée de l’Hémisphère. D’une fenêtre brisée à tout un édifice implosé, la débâcle intempestive d’Haïti a été concoctée à dessein pour le besoin de la cause égocentriste d’un Occident aux dents pourries.

Conspiration, provocation, diffamation, coups traîtres, coups bas, d’une part, ces capitalistes fous fustigent et incarcèrent les cerveaux du crime. D’autre part, ils planifient guerres civiles et coups d’État si cela les arrange dans leurs convoitises d’appauvrir les nations riches en métaux précieux. Face cachée dévoilée, le perfide laboratoire occidental a perdu la face au cours des dernières années.  Compliments à Maduro qui ne s’est pas laissé faire. Le président Vénézuélien a été formidable dans sa résistance à des allégations infondées des bourreaux occidentaux. Malheureusement, ce sont des interlocuteurs fort minables qui défendent les intérêts d’Haïti. Et pour cause, ces dirigeants lâches obéissent à toute imposition des flibustiers du Nord, sans critique, sans analyse, sans réplique.

Puisque politiquement le vagabondage l’avait remporté cyniquement haut-la-main sur le sage au lendemain du tremblement de terre sanglant de 2010, l’on ne pouvait s’attendre qu’à des résultats chaotiques. Le succès, mais aussi l’échec, tout se prépare. Une société ne vaut que par le leadership et la qualité des acteurs qui implémentent des politiques d’inclusion sociale au profit de toutes les couches, particulièrement des plus vulnérables.

Le niveau de bien-être qu’a connu le Rwanda, pour en prendre l’exemple le plus convaincant du moment, n’est pas le fruit du hasard. Autour des politiques d’éducation, santé, compétitivité et de perfectionnement des ressources humaines dans les meilleures universités du monde pour mieux servir au bercail, se situe le visionnaire légendaire Paul Kagame. « Dis-moi qui te représente à ta présidence, à ton Parlement, et à ton système de justice, je te décris ta société ». C’est ainsi que l’on établit les lignes de démarcation entre les sociétés modernes et les jungles.

Une option calamiteuse a été imposée à Haïti en 2011. Et donc, la situation invivable du pays n’est décidément pas une surprise. « Une nation récoltera ce qu’elle aura semé ». Par contre, aucune situation ne se vit comme une fatalité quand conscience collective se met de la partie pour sauver une patrie en péril. Dans le cas problématique d’Haïti, il suffit de se rappeler de l’héritage génétique emblématique légué par les stratèges de la liberté, et les descendants de Toussaint et Dessalines peuvent changer le décor lugubre en se débarrassant des faux-amis et des traîtres fils.

À ce stade critique, il faut décerner que les mots pèsent très peu devant les multiples maux douloureux et les morts tragiques gratuites au quotidien offerts à la population vulnérable. Des mesures drastiques s’imposent. La prémisse de la sortie salvatrice de cette abysse suffocante consiste à foutre un coup de pied dans la fourmilière. Avec véhémence et dans l’intelligence de bousiller au minimum nos propres ressources (humaines et matérielles). Cependant, sans lésiner, sans procrastiner. L’atrocité a déjà pris trop de largeur. Stopper l’hémorragie est le point de départ vers l’homéostasie. L’heure est urgente.

Une complicité pharisaïque

Dans l’arrogance, aux antipodes des prescrits des conventions de Vienne, les vampires modernes aux manteaux de plénipotentiaires sympathiques fourrent leurs dents longues belle longueur dans les ressources nationales de notre Haïti garnie en dotation naturelle. Plus tard, ces malveillants opulents de l’Occident condescendant tergiversent en des artifices politiques pour braquer le projecteur sur des petits monstres du banditisme. Les mastodontes du crime étant les poulains mesquins sur lesquels ils jettent leur dévolu afin de sucer aisément les ressources nationales.

« Oui Tonton Blanc », l’ancien prisonnier Michael n’aurait pu regarder le mauvais Blanc dans le blanc de ses yeux vairons, car étant de très mauvaise vie et mœurs. Empreinte digitale de l’hypocrisie politique occidentale, c’est la médiocrité et la malhonnêteté qui sont plutôt payantes. Les Manigats auraient payé leur « imbécilité » de se former pendant de longues années à des universités prestigieuses pour par la suite préparer des générations futures. Qui aurait cru que l’international qui se dit pro-développement allait consacrer les gouyads éperdus et les 400% Bulshit référence suprême. Facile quand même de discerner le sens du jeu. Celui-ci consiste à satisfaire les enjeux des étrangers quitte à appauvrir les pays du Sud jusqu’à la dernière piastre. Pour parvenir aux résultats de maintenir leur suprématie économique,  les diplomates affairistes de l’Occident s’en foutent de l’éthique des moyens. Merci OEA ; merci ONU !

Aujourd’hui, l’objectif malsain de la néantisation d’Haïti prend une nouvelle tournure. Le focus du projecteur international est centré sur des salopards. Dans une péroraison tonitruante, ce sont les pseudonymes du banditisme qui résonnent au pays avant de bénéficier d’un rayonnement international ignoble. Heureusement, tous les « pongongons » du crime et du kidnapping ne jouiront pas du rare privilège de la vermine « Yonyon » qui survole en avion blindé, sous le cortège de ces arbitres déloyaux qui approuvent des buts de la main des fautifs et brandissent des cartons rouges aux victimes, selon leur discrétion. Puisse le minimum d’intelligence des crapules des rues et ceux à cravates leur permettre de discerner qu’après les stratagèmes « helléniques » d’une ONU conspiratrice, ils finiront dans l’infamie, comme des papiers hygiéniques. Dans la poubelle !

L’histoire ne fait que se répéter. Vedette aujourd’hui, mais demain à la Arnel Joseph les vauriens exhaleront leurs derniers souffles sur des piles d’immondice. Sauf s’ils auraient pris l’option avisée de se métamorphoser d’un « Goliath » meurtrier à un « David » né de nouveau, « vrai ou faux » annonciateur de l’évangile de paix derrière un gadget électronique.

En tout cas, à l’instar du mariage Snowden et Wikileaks, il y a des dissidences qui peuvent se révéler favorables à des institutions clés pour tirer le ver du nez. Dommage que la PNH asservie et infiltrée d’en haut par des traîtres fait salir les symboles et les uniformes du Corps de sécurité et de sureté publique à l’abattoir. Sinon, de la République Voisine étant, quelques anciens assassins en fuite mettent la Police au parfum sur des tenants et aboutissants des crimes spectaculaires. Les deux à trois dernières années nous auront convaincus qu’un simple citoyen brave et courageux, qui s’offre en holocauste pour démasquer des vauriens, détient plus d’intelligence qu’une entité régalienne. Des Brésiliens, Européens, Canadiens, Chiliens, et « Chinois » aidant, et la « Jeunesse » est capable de battre un gros « Bravo » en voyant des journalistes arrivistes, députés criminels, sénateurs assassins et présidents impotents déshabillés, Kò-Touni. Pourtant, le service d’intelligence du CSPN serait incapable de mettre la patte sur les gangsters.

En voici le nœud gordien, la plupart des petits monstres ont des parrains vilains et des marraines maniaques au sommet qui les encadrent, les défendent et les bichonnent selon les vœux d’un certain paradigme « hellénique » satanique. « Tout Limen » sur le chemin de la déraison, à travers son téléguideur dernier cri et sa longue-vue sophistiquée, la « limenna » Lalime anime le jeu macabre de la mort gratuite qui n’épargne même l’uniforme et la blouse. Question de se rappeler que le problème doit être attaqué en amont si l’on vise des solutions soutenables.

In fine, la dialectique est atterrée de constater qu’une diplomate étrangère puisse faire l’éloge d’un arbitraire extrême soldé en une fédération de gangs et de fous à lier, des familles et alliés attachés viscéralement au pouvoir en place. Sans gêne, vu, entendu et connu de tous. Bien nu. Merci Binuh ! Dix ans de cela, Merten montrait quand même un signe de gêne en défendant Michael du bec et des ongles. Aujourd’hui, le Core-Group se positionne sans ambages comme une annexe du PHTK. Gravissime !

Peu importe, il viendra un jour, dans pas trop longtemps, au Village du Diable, au Belair, à la Croix-des-Bouquets, à la « Cité ensoleillée de la mort », au sein des hôtels luxueux construits par les moyens de l’argent du Pétro, « sans jour », sans heure, la mort frappera à la porte des malfrats à col blanc et à col bleu en moins de « 5-Segondes » pour les griller à la BBQ. Haïti doit vivre des jours de délivrance. L’on ne devrait pas attendre le premier anniversaire mosaïque mortuaire qui rappellera une fois de plus la défaillance flagrante d’un État pris en otage par un cartel politique de la drogue.

La barbarie plénière

Peine en Plaine, plein de sang à Martissant, mauvais air au Bélair, la psychose est servie comme du café et du pain quotidien. La vie se vit en des signes de vie miraculeux, dans l’atonie, l’asthénie et la survie sans vie. La chute libre drastique en parachute déchiré a été concoctée par des traîtres écervelés du bercail et des insensés de la perfide communauté internationale qui sont les principaux architectes du capharnaüm. À peine si les rescapés les plus chanceux ne tombent sur la tête pour « contempler » dans un rouge sanglant leurs cerveaux éclatés en moins de « 5-secondes ». Quantitativement et qualitativement, il y a déjà un nombre effarant de victimes emportées par les gros vents ardents et les « petites pluies » torrentielles de masse télécommandés par les gangs officiels d’en haut en mission électoraliste.

En bons juifs errants, en « peu de vie », en cadavres ambulants, comme des morts-vivants sinon tels des dessins animés, le citoyen paisible est contraint de fuir son propre domicile, sa boutique, son école et son église pour ne pas se faire lyncher par des « Chen michan » et des « Mawozo » à couteaux-tirés. En présence des forces de l’ordre impotentes, les malandrins se croisent des épées et font tonitruer sans-arrêt des kalachnikovs aux décibels de tonnerre. Entre-temps, les répugnants Michel, Michel et Nènèl font le makrèl aux boîtes de nuit dans les hauteurs. « Ariel en rit » !

Gaspillage du billet vert, les barricades sont levées puisque les bourriques sont muselées par des bouchées d’herbes fraîches dans leurs gueules de vipère. Ruse, jeu de « Bouzen » dans une Fusion ignoble, le supplice est énorme quand une femme politique se plie au vœu d’un St-André avare qui la traîne dans la poubelle de l’histoire. Compte doré, « Bien compté, mal calculé », un jour, la population remettra à ces flagorneurs-profiteurs la monnaie de leur pièce de Malice vis-à-vis des onze millions de Boukis. Caméléons, à califourchon, « Est-ce de peu » de conviction que ces idiots utiles ne peuvent véritablement servir une cause juste. Compliments SDP !

Leadership néant

À maintes reprises, la population cherche à la Diogène un bon Moïse pour l’emmener à la terre promise. Malheureusement, ce ne sont pas les noms qui font les personnalités. Mais plutôt l’inverse. Un premier Moïse l’a berné en des promesses de bananes pourries et des menaces de couper quelques têtes du serpent venimeux aux sept têtes jusqu’à ce qu’il ait laissé sa peau comme un moins-que-rien, dans l’ignominie la plus complète. Un deuxième leader mosaïque leurrait en des opacités et des vrais-mensonges dans un vrai-faux semblant d’un généreux et courageux combattant en croix contre l’establishment occidental. « À l’instar de nombreux autres politiciens racketteurs, Jean-Charles semble avoir des anneaux chez l’orfèvre ». En tout cas, aucun démenti formel n’a été porté suite aux accusations de connivence de Moïse avec des barons de la cocaïne dans la région. Tôt, ce bluffeur combattant ambigu de l’Occident a été englouti. Tant mieux !

Tout compte fait, il demeure dans les quatre points cardinaux et les quatre points collatéraux qu’aucune offre politique soutenue n’est vraiment perceptible. Si Montana se dressait à titre d’alternative salvatrice pour planifier une transition de rupture, cette structure citoyenne souffre tout de même d’une certaine intelligence politique pour maintenir l’écho à son avantage. « En Haïti, le bruit compte aussi ». Regrettablement, c’est de cette manière inique que des tonneaux vides savent damer le pion à des sommités intellectuelles. Tant pis !

Le peuple meurt de soif de voir émerger un leadership moderne. D’une part, muselé au Ciel cinquante fois étoilé depuis quelques mois successifs à ses sorties mosaïques crabes qui lui valent un certain « doctorat honoris causa » semble-t-il par des mardi-gras, le vrai-faux leader du Nord a fermé la boîte. Il a été déboîté puis mis en boîte par une certaine boîte noire bien perceptible aux lentilles des yeux de lynx. L’Occident ! Il semble que la batterie d’avocats mobilisée contre l’opulente ambassade a bu un acide toxique. Dans cette lâcheté honteuse de se plier la queue dans un hennissement de cheval décroissant vers un couinement de souris, un test ADN est requis pour véritablement authentifier les bons « Pitit » Dessalines. Aucunes couilles, le cheval du Nord est bridé.

D’une part, Foucand dans ce même camp des fous, insensés et assoiffés de l’argent facile, continue de se suffoquer dans les recettes de l’APN, a scandé un de ses collègues sénateurs. La population se fait cuisiner au four et au moulin des ravisseurs et des racketteurs-importateurs des débris d’avions incapables de maintenir le cap dans les airs au risque de heurter mortellement piétons et motocyclistes. Infortuné de se faire représenter par l’impulsif Fortuné fauché mortellement par le séisme du Sud, le département de Gelée nage au cours de la dernière décennie dans un leadership ignominieux. La situation n’est pas moins révoltante à l’Ouest, au Centre et dans les périphéries. De ce décor monstrueux de leaders qui coïncident avec dealers, la population récolte une laideur multiforme.

Combien de cadavres et de kidnapping additionnels la population doit-elle encore recenser dans son camp avant de prendre la ferme résolution pour qu’Ariel, PHTK et leurs familles détraquées foutent le camp ? Si Foote en a été fouetté dans sa conscience citoyenne, qu’en-est-il des Haïtiens prisonniers au sein de leurs propres quartiers, des chauffeurs interdits de circuler, des étudiants, professionnels et des familles décapitalisées ? An Nou Fout Bouda n de Tap !

Longévité de l’impunité

Pour garantir l’honneur et la crédibilité dans les affaires suprêmes de l’État, la femme de César ne doit pas être soupçonnée. Pourtant, plus que des opinions et des suspicions, les investigations techniques ont établi que la femme de César ainsi que César lui-même sont pris en flagrant délit, la main dans le sac.

Suivez mon regard évasif aux dossiers Petrocaribe, CIRH, Dermalog. Ajoutons les malversations dans les ministères, les concussions au sein des organismes autonomes, les conspirations et les assassinats dont particulièrement ceux sur le bâtonnier Dorval et le président-indécent Moïse. En de tels moments troublants, les mains sales trempées dans les crimes de lèse-patrie sont paradoxalement celles qui détiennent les boutons stratégiques de rétablir l’ordre dans la Cité.

Les mesures d’expulsion des bandits à menotter et à cloîtrer en taule ne sont donc pas pour demain d’autant que la presse prostituée prend partie pour l’ineptie et la barbarie. Pas besoin d’arguments complexes, la simple logique puise dans la rationalité pour déduire clairement que la mission de s’expulser soi-même est impossible. Juge et partie, le conflit d’intérêt est patent. Le coupable à qui on aurait stupidement attribué le pouvoir de prononcer le verdict ne s’octroierait jamais un carton rouge. Pourtant l’impunité ne peut s’estomper que par de bons signaux d’application des principes de la justice. L’âme qui pêche est celle qui doit être emprisonnée. Haïti doit entrer dans cette nouvelle dynamique qui est l’apanage des sociétés modernes. « Kote Kòb Petrocaribe a » ?

Plus la vigilance lésine à foutre un coup de pied ferme dans cette fourmilière cruelle, plus les rapports font état de piratés, kidnappés, violés, exploités et assassinés dans le camp du peuple innocent. Haïti n’en peut plus dans ce contexte damné décrété par des familles psychopathes et des fous alliés d’un pouvoir maniaque insensible devant le chagrin de la population.

En absence d’un état de droit, en présence de l’injustice perpétrée par les garants de la bonne marche institutionnelle, en ce règne de ravage de l’usage de faux par les escrocs gardes des sceaux, il revient aux institutions de vigie et à la vox populi de forcer à rétablir l’équilibre.

Un pays qui se laisse piloter par des criminels et des cartels de gangs ne fait que fouiller sa propre tombe. Il vient le moment de changer de direction. Haïti est assoiffée de se faire représenter par des interlocuteurs valables. Changeons le décor.

Carly Dollin
carlydollin@gmail.com

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