L’Equateur connait son lot de réfugiés Haïtiens débarqués chaque jour par centaines à la gare routière juxtaposant la frontière colombienne

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L’héritage des Tèt Kale, parti de « bandits légaux », soutenu par le Core Group et Binuh, est lourd à gérer. PHTK1, PHTK2, PHTK3…les régimes les plus corrompus et criminels qu’Haiti n’ait jamais connus depuis 1804. Allons-nous laisser Martine Moise, cette inculpée de blanchiment d’argent et accusée de surfacturation de kits scolaires et également d’implication dans l’assassinat du Dr. Dorval, venir nous faire la loi dans ce pays dont la capitale financière et économique est la plus sale au monde.

Jeudi 7 octobre 2021 ((rezonodwes.com))–L’Équateur est devenu l’un des pays de transit pour les Haïtiens qui traversent le continent pour se rendre aux États-Unis.

Ce phénomène, en augmentation depuis le mois de juin, a fait de ce groupe une proie pour le commerce lucratif du trafic de migrants, a rapporté l’agence de presse espagnole EFE.

Les points de passage irréguliers le long de la rivière Carchi, la frontière naturelle entre l’Équateur et la Colombie, ont vu des milliers de Vénézuéliens et Haitiens traverser dans les deux sens au cours des cinq dernières années.

Ces derniers mois, ils sont devenus le théâtre d’une nouvelle migration qui déferle sur le continent sud-américain.

« Il y a environ trois mois, un peu plus, l’exode des migrants haïtiens a commencé« , a expliqué à Efe Fernando Villarroel, administrateur du terminal terrestre de la ville équatorienne de Tulcán, à la frontière avec la Colombie.

Depuis le mois de juin, il estime qu’entre 450 et 650 Haïtiens sont arrivés chaque jour à la gare routière, la plupart en provenance de Huaquillas, la frontière entre le Pérou et l’Équateur, dans le sud du pays, qui, comme celle de Rumichaca à l’entrée de la Colombie, est officiellement fermée depuis le début de la pandémie.

Le transport direct par bus est le moyen de transport choisi par la plupart de ce flux, bien que « ceux qui ne peuvent pas obtenir un billet direct arrivent par transfert depuis Guayaquil, Quito, Ambato et Riobamba », précise Villarroel.

Cette nouvelle migration a conduit une trentaine de personnes de Tulcán à se tourner vers le commerce du « coyoterismo » pour « les emmener à l’autre frontière et les faire passer à (la ville colombienne d’) Ipiales », à un prix « qui varie de 15 à 25 dollars par personne », indique le directeur du terminal.

Il s’agit d’un phénomène « visible » entre l’aube et la mi-journée, lorsque le gros des bus chargés d’Haïtiens arrive, qui se dirigent bientôt dans des véhicules privés et des camionnettes vers les points de passage irréguliers conduits par les coyotes, avec lesquels ils ont généralement fait leur voyage depuis la frontière péruvienne.

source : Ecuavisa

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