Asesinatos, desapariciones y otros sorprendentes crímenes en el Vaticano
Le journaliste argentin Ricardo Canaletti a enquêté sur les assassinats, les enlèvements et autres crimes choquants au Vatican.
« Crímenes sorprendentes en el Vaticano » démontre dans chaque cas que le diable est très à l’aise dans les lieux sacrés.
Dimanche 29 août 2021 ((rezonodwes.com))–La Cité du Vatican a une superficie de quarante-quatre hectares, c’est-à-dire moins d’un demi-kilomètre carré. C’est une monarchie absolue dans laquelle le pape, en plus d’être guide spirituel, est monarque. Moins de huit cents personnes y vivent, dont cinq cent quatre-vingt-dix sont des citoyens du Vatican, les autres étant de simples résidents. Et c’est le plus petit État indépendant du monde.
Toutefois, comme dans n’importe quel autre État au monde, et comme il dispose d’un code pénal, des crimes odieux sont commis au Vatican, même s’il s’agit du centre de la religion catholique. C’est ce que démontre l’écrivain et journaliste argentin Ricardo Canaletti dans son livre Crímenes sorprendentes en el Vaticano (Des crimes surprenants au Vatican).
Selon le journaliste-investigateur Canaletti, l’Église catholique aurait voulu que ces crimes restent cachés ou qu’ils soient oubliés. Mais dans les salles somptueuses et devant l’autel de la basilique Saint-Pierre, a-t-il mentionné dans son ouvrage, « des mensonges ont été proférés, des vols ont été commis et des meurtres ont été perpétués« .
De l’empereur Constantin au pape François, l’Église catholique a dissimulé des meurtres, des escroqueries et des événements hilarants. Dans ce livre, Ricardo Canaletti reconstitue les faits et les raconte avec le style inimitable et la passion qui ont fait de lui le journaliste criminel le plus lu dans son pays, en Argentine.
Cette fois-ci, Canaletti parcourt Alexandrie, Constantinople, Cyrène, Athènes, la Lombardie et Rome ; il se procure des sources, des archives historiques et remonte jusqu’à l’Antiquité, mais il entre aussi dans les scandales contemporains. La philosophe Hypatie, une femme savante et indépendante, a été lynchée par des fanatiques instigués par le pouvoir ecclésiastique. Une autre femme s’est assise sur le trône de Pierre et, des années plus tard, a accouché en pleine procession. Il y avait un pape qui était appelé « Satan » et un autre qui avait été un pirate.
Pendant la « pornocratie« , les affaires étaient réglées par des faveurs sexuelles. Les papes étaient les pères des papes. Les gens étaient torturés à mort pour éviter de payer leurs dettes. Un pontife suprême en a étranglé un autre, et il y en a un autre qui a amené le cadavre de son prédécesseur au procès.
Dans les pages de l’ouvrage, on trouve les « banquets de châtaignes » organisés par le pape Borgia. Machiavel, Léonard de Vinci, Giordano Bruno apparaissent. Et nous cherchons à savoir ce qui se cache derrière la mort soudaine et jamais enquêtée de Jean-Paul Ier, qui avait affronté la franc-maçonnerie et la corruption démontrée par l’effondrement du Banco Ambrosiano ; et aussi la disparition – toujours impunie – de la jeune fille Emanuela Orlandi, qui lie l’assassinat de Jean-Paul II aux services de renseignement et aux tombes achetées par la délinquance.
sources : page Facebook Ricardo Canaletti Fan oficial | Facebook
Crímenes sorprendentes en el Vaticano – Ricardo Canaletti – Libros Adriana
