« Ma vie est en danger« , les derniers mots de Jovenel Moise révélés par le journal Miami Herald.
Porter assistance à une personne dont la vie est en danger est un principe fondamental, ne pas le faire quand c’est possible est un CRIME.
QUI SONT CES 2 PERSONNES VERS LESQUELLES LE PRÉSIDENT S’ÉTAIT-IL TOURNÉ À SA DERNIÈRE NUIT SUR TERRE ?
Lundi 19 juillet 2021 ((rezonodwes.com))–-Selon le Miami Herald, le président Jovenel Moise assassiné le 7 juillet dernier a eu le temps de passer deux appels à la police haïtienne.
Moise, d’une voix nerveuse, leur a demandé de mobiliser les forces disponibles pour empêcher son assassinat.
Au milieu de la conversation, cite le quotidien de la Floride, des détonations ont été entendues. Mais après 10 minutes d’attente et de clameur, les secours ne sont pas venus et Moise a décidé de passer un autre appel.
Ce dernier destinataire serait un officier de police entraîné tactiquement, en qui il avait confiance. « J’ai besoin de votre aide maintenant« , a dit le président en désespoir de cause, comme le révèle le Miami Herald.
« Où êtes-vous ? » a déclaré Jovenel Moise, appelant l’officier par son nom après que ce dernier ait répondu : « Monsieur le Président« .
(…) « J’ai besoin de votre aide, maintenant ! (…) Ma vie est en danger. Venez vite ; venez me sauver la vie « , s’exclame le président.
