Aucun peuple au monde n’accepte que ses dirigeants se comportent en despote. Le refus de la stricte application des lois qui ne sauraient être interprétées ni violées, suffit à elle seule pour exiger des démissions aux moindres incartades.
En Haïti, combien d’Haïtiens-manifestants, Jovenel Moise envisage-t-il de faire fusiller par la police et les gangs g9 pour arriver à imposer son CEP-Dermalog et sa 51e législature de la honte d’éventuels corrompus ?
Des centaines de personnes se sont réunies samedi soir à la Puerta del Sol, devant le siège de la Communauté de Madrid, pour exiger la démission de la présidente régionale, Isabel Díaz Ayuso, après l’annonce des nouvelles restrictions, que les manifestants considèrent comme » discriminatoires » et » ségrégationnistes « .
Samedi 19 septembre 2020 ((rezonodwes.com))–Des organisations sociales, des intellectuels, des hommes politiques et des fonctionnaires ont exigé samedi la démission de la présidente de la région espagnole de Madrid, Isabel Díaz Ayuso, pour son « incompétence dans la gestion de la pandémie de Covid-19« .
Dans un manifeste, 80 groupes sociaux et plus de 300 personnalités ont critiqué les mesures annoncées la veille par Díaz Ayuso pour contenir l’augmentation incontrôlée des infections au coronavirus SRAS-CoV-2 dans cette communauté (région) autonome d’Espagne.
Le gouverneur autonome, du Parti populaire de droite, a annoncé le confinement de nombreux quartiers et municipalités de Madrid à partir de lundi, une mesure qui touchera près d’un million d’habitants, pour la plupart issus des quartiers pauvres du sud de la ville.
Les signataires de la déclaration ont qualifié de racisme institutionnel les propos de Diaz Ayuso, qui a attribué mardi dernier la croissance exponentielle des personnes infectées sur ce territoire de 6,6 millions d’habitants au mode de vie des migrants de la zone sud.
Ses déclarations visent à blâmer la population migrante pour l’augmentation des infections à Covid-19, une maladie causée par le virus mortel, ont-ils averti.
