Sur un autre plan, mais toujours dans le cadre de la » reconstruction », des parlemenrtaires ont denoncé ces derniers temps la non realisation de travaux confiés, pour d’importantes somme d’argent, à des compagnies dominicaines appatenant au très controversé sénateur Felix Bautista en difficulté avec la justice de son pays pour corruption presumée.
Ou bien les travaux n’ont pas éte entamés ou bien ils trainent en longueur, au point que certans d’entre eux ont dû être confiés a des compagnies taiwanaines jugées plus sérieuses, mais qui généralement exécutent des ouvrages financés par leur propre gouvernement.
Camille Charlmers s’étonne que le gouvernement haïtien reste bouche bée et sans réactions, face à de tels scandales.
Selon lui, la communauté haïtienne devrait parler d’une seule voix afin d’exiger que les fonds dilapidés soient reversés à Haïti.
Il a épinglé au passage la Commission Intérimaire pour la Reconstruction d’Haïti (CIRH) co-presidée après le séisme par l’ancien président américain Bil Clinton et le premier ministre Jean-Max Bellerive.