Le chocolat empoisonné offert par Emmelie Prophète aux Haïtiens pour la Saint Valentin

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Washington, mercredi 14 février 2024 ((rezonodwes.com))-« Depuis la caducité de l’accord du 21 décembre, aucun membre du régime illégitime d’Ariel Henry n’a le droit de décider de l’avenir de 12 millions d’Haïtiens« , a déclaré le Dr Josué Renaud, commentant la visite à Washington d’Emmelie Prophète, nouveau Ministre des « Territoires Perdus », « sur ordre de ses maîtres« .

M. Renaud, directeur exécutif de la New England Humans Rights Organization (NEHRO), a qualifié cette visite de « distribution de chocolat empoisonné aux Haïtiens par cette esclave domestique pour la St’Valentin« , qui, a-t-il dit, « est venue demander l’occupation de son pays alors que les gangs fédérés par Tèt Kale-PHTK sont à ses services depuis l’ère Martelly-Lamothe et de la manne Petro Caribe« .

Mme Milcé, qui est au cœur de la structure du pouvoir Tèt Kale, de Sweet Micky à Ariel Henry en passant par Jovenel Moise, a souligné qu’elle-même, sans mandat légitime et constitutionnel, ainsi que M. Frantz Elbe, Directeur par intérim de la Police Nationale d’Haïti (PNH), qui n’avait pas non plus été ratifié par le Parlement, et d’autres « participants ont fixé une date limite pour l’arrivée en Haïti d’un appui à la PNH« , alors que la l’institution policière, selon les critiques, venait de démontrer son expertise dans la répression de toutes les manifestations populaires anti-Ariel.

 » Le constat est clair : le maintien au pouvoir de cette équipe gouvernementale fantoche ne peut être toléré « , a souligné le défenseur des droits de l’homme Josué Renaud, qualifiant  » d’inconcevables et d’injustifiables les décisions prises par ce gouvernement d’hommes et de femmes sans scrupules « .

Il a ajouté qu’Emmelie Prophète, malgré son déficit de légitimité démocratique, s’obstine à exercer un pouvoir contesté.

Un communiqué de presse du ministère de la Communication du gouvernement haïtien illégitime affirme que  » la session du 14 février a été consacrée au dossier du mémorandum d’entente entre le Kenya et Haïti exigé par la Cour constitutionnelle du Kenya « , alors qu’Haïti ne dispose d’aucune autre institution pour approuver des instruments internationaux qui ne relèvent pas d’un Conseil des ministres, encore moins d’un gouvernement dont la date d’expiration était arrivée le 7 février 2024.

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