Au banquet des sentiments, les mots se font doux. Et si, en cette Saint-Valentin, les armes se taisaient pour laisser place à une éternelle culture de l’amour du prochain.
En ce jour béni, où l’amour s’épanouit,
Le 14 février, hommage à Cupidon,
Dans l’éther des cœurs, l’élan se perpétue,
En un ballet divin, l’âme s’évertue.
Sur l’autel de la passion, les cœurs offerts,
S’étreignent les amants, d’un lien éternel,
Tissant les fils d’or d’un amour infini,
Sous le doux regard des étoiles bénies.
Dans l’écrin des soupirs, les mots se murmurent,
Tels des vers envoûtants, douce mélodie,
Célébrant l’union, l’harmonie des âmes,
Dans un écho d’amour, où le temps se pâme.
Ainsi, chaque année, ce rituel sacré,
Ravive la flamme, en un feu embrasé,
Où se fondent les cœurs, dans une étreinte pure,
Au creuset de l’amour, éternelle figure.
En ce jour dédié à l’amour triomphant,
S’épanouit la rose, symbole éclatant,
De la passion ardente, de l’éternité,
Où s’écrit en lettres d’or, la félicité.
Que la Saint-Valentin soit le doux préambule,
D’une vie enlacée, d’un bonheur qui pullule,
Que chaque jour soit fête, où l’amour rayonne,
Dans l’éternelle danse, où le cœur résonne.