Paris | Canal de la Rivière Massacre : La vision de Wideline Pierre pour une Haïti libre et équitable

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Fraternité Haïtiano-Haitienne : Unanimité face au Canal de la Rivière Massacre

Ce canal emblématique de la rivière Massacre incarne la devise triangulaire de la première république noire : Liberté, Égalité, Fraternité.

Manifestant le principe de la liberté d’agir, à l’abri de toute interférence dominicaine, cette liberté se réfère au droit d’un pays libre et indépendant de défendre son intégrité territoriale, intrinsèquement liée à la protection de ses intérêts suprêmes. Elle renvoie également au principe d’autodétermination d’un peuple. Muni de sa carte d’adhésion à la Charte des Nations unies en tant que membre fondateur, nul ne peut ignorer cette liberté de droit et de fait. Son éclat s’est récemment manifesté dans l’aire métropolitaine de la Ville des Lumières au cours des dernières 48 heures, démontrant une détermination inébranlable.

Le flambeau allumé par l’architecte exceptionnelle Wideline Pierre, sanctionnée et trahie par des néophytes vicieux et maladroits, devrait inspirer l’esprit patriotique prôné par la New England Human Rights Organization (NHERO) au sein de la diaspora plurielle, dont la France ne constitue qu’une minorité.

Quant au principe d’égalité haïtiano-dominicaine, il est difficile de comprendre sur quelle base légale le gouvernement dominicain s’arroge le droit de sanctionner la citoyenne haïtienne Wideline Pierre pour sa décision de faciliter l’irrigation des terres arides et la production agricole de son pays. Cette action, qualifiée de choquante et scandaleuse, est dénoncée alors que l’architecte réaffirme sa volonté de nourrir son peuple et d’assurer le bien-être de son pays, même lors de sa visite à Paris.

Du principe de la manifestation de la Fraternité haïtiano-haitienne, une rare unanimité règne au sein de la société haïtienne concernant le canal de la rivière Massacre. Contrairement aux attentes des détracteurs, la fraternité est manifeste, sans ambiguïté ni dissidence, au sein de la diaspora plurielle de la République d’Haïti depuis la révolution de 1804, soulignant l’utilité des travaux en cours.

Concernant les spécifications techniques du canal et les prétendus dommages causés à la partie dominicaine, il est impératif de réaliser des études du côté dominicain pour déterminer la conformité aux normes internationales de l’utilisation de la rivière dans son ensemble. Aucune intervention étrangère ne sera acceptée sous prétexte d’une inspection partielle ciblant uniquement le côté haïtien de la rivière Massacre.

En rappel, le 26 avril 2021, des soldats dominicains ont pénétré le territoire haïtien pour intimider les travailleurs et arrêter le chantier du canal. Malgré une déclaration conjointe reconnaissant que les travaux ne constituent pas une déviation de la rivière, le gouvernement dominicain a rétracté sa position de non-objection, privilégiant la confrontation, y compris des actes d’intimidation violant l’espace aérien haïtien. La fraternité persiste parmi les travailleurs de la plaine de Maribaroux, qui ont légitimement repris les travaux malgré les obstacles. Liberté, égalité, fraternité, République d’Haïti : « Kanal la pap kanpe » !

Reportage en collaboration avec NHERO-Europe
Crédit photo : NHERO-Europe

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