La prise de contrôle par les gangs de Port-au-Prince, en toute impunité : une analyse approfondie de l’article de Le Figaro.
Port-au-Prince, autrefois une ville dynamique, est maintenant fragmentée en zones de contrôle exercé par des groupes armés concurrents dont la plupart ont été fédérés par le régime Tèt Kale PHTK, toutes versions confondues. Jadis considérée comme la « perle des Antilles », la capitale haïtienne, décrit LeFigaro, est actuellement en proie à une violence incontrôlable, avec environ « 60 % de la ville tombée aux mains de gangs criminels » depuis l’avènement du régime illégitime Tèt Kale #3 (PHTK-SDP-Fusion-RDNP-Inite….).
Face à des criminels lourdement armés, la police, qui manque cruellement d’équipement, se trouve en grande partie impuissante. Par contre, des policiers ne lésinent pas à réprimer sauvagement des manifestants anti-Ariel et pas plus tard que mardi dernier, ils ont fait une grande démonstration de force face à des sans-abris fuyant la furie des gangs à Tabarre.
Des frontières invisibles à l’œil nu mais cruellement ressenties par les habitants font partie du quotidien, nécessitant une vigilance constante. Une erreur, si minime soit-elle, peut coûter la vie, souligne le texte. Des lieux historiques tels que le quartier de la cathédrale ou du palais présidentiel, dévastés par le terrible séisme de 2010, demeurent inaccessibles. Malgré les promesses de programmes de reconstruction, ces bâtiments emblématiques restent en ruines. Le quartier du port, qui borde la mer, est également inaccessible sans l’autorisation des autorités locales autoproclamées.
Parmi les noms qui dominent ce paysage de violence, rappelle Le Figaro, on compte Jimmy Chérisier, plus connu sous le pseudonyme de Barbecue, Isca Andrice, Christ-Roi et Jean Pierre.
Pour plus de détails, consultez l’article complet sur lefigaro.com.
À Port-au-Prince, l’effrayante et sanglante emprise des gangs (lefigaro.fr)