Miami Herald: Les États-Unis soutiennent l’envoi d’une « force multinationale d’action rapide » en Haïti

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Ariel Henry a gagné le pari et la postérité saura garder son nom dans la poubelle comme l’ennemi public #1 et le pire des esclaves à talent de toute l’histoire d’Haiti pour n’avoir jamais bénéficié d’un vote populaire jusqu’à agir et se permettre de prendre des décisions en son nom.

L’international fait peu de cas d’une résolution du sénat haïtien!

La coalition PHTK-SDP-Fusion-MTV-Inite…livre Haiti à une nouvelle occupation militaire sous prétexte de combattre des gangs criminels armés par le régime PHTK lui-même.

Vendredi 14 octobre 2022 ((rezonodwes.com))– Aux prix d’une lutte programmée contre les gangs fédérés et alimentés par le pouvoir PHTK, le peu de liberté dont jouissent les haïtiens, malgré enfermés dans un carcan de misère, est sur le point de disparaitre avec une quatrième intervention militaire « lourdement armée », à la demande d’un « fils dénaturé » du pays, souffrant de « présidentite » dans ses neurons.

Le journal Miami Herald a appris vendredi soir que les États-Unis ont rédigé une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, selon laquelle un « déploiement immédiat d’une force d’action multinationale » en Haiti prendra forme.

La résolution, selon une copie obtenue par le journal, répond aux exigences d’une « pire crise sécuritaire et sanitaire que connaît le pays depuis des décennies« , à la date exacte où le régime PHTK a pris les rennes du pouvoir jusqu’à entrainer le pays dans le chaos total et faciliter une nouvelle intervention contestée par la majorité du peuple.

Le projet de résolution, confirmé par plusieurs responsables des États-Unis et de l’ONU, souligne Miami Herald, fait suite à l’appel lancé la semaine dernière par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, en faveur de la création d’une force de réaction rapide pour aider la police nationale haïtienne – dont les ordres d’opération viennent toujours soit du Palais National et ou de la Primature. Au cours des quatre dernières semaines, de puissants gangs armés ont pratiquement plongé le pays dans l’anarchie, bloquant les plus grands terminaux de carburant du pays et coupant les routes essentielles.

C’est la première indication publique à ce jour que l’administration Biden est prête à participer à une force militaire en Haïti – bien que la résolution ne précise pas quel rôle les différentes nations joueraient.

Une source américaine familière avec la rédaction de la résolution a déclaré que la force multilatérale ne serait pas sous la supervision de l’ONU ou rassemblée en vertu du chapitre VII de la Charte de l’ONU, qui approuve l’utilisation de la force pour le maintien de la paix.

Il est important de souligner que le premier ministre de facto, Dr. Ariel Henry ne détient aucun mandat pour agir au nom du peuple haïtien, d’autant plus que sa décision de faire venir des troupes étrangères sur le sol national, n’est l’objet d’aucun fruit de consensus, a rappelé jeudi le professeur Ted Sindic de l’Accord de Montana.

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