par Kerlens Tilus
« Infidélité : Dire ou ne pas dire ?
Dimanche 26 juillet 2020 ((rezonodwes.com))– Pour moi, le concept uniforme d’infidélité qu’on attribue ne tient pas la route. Car beaucoup de relations ne fonctionnent pas et ne se construisent pas de la même manière. Beaucoup ne se construisent pas sur les principes de fidélité comme présentées par la morale ou l’église. Beaucoup de relations se basent sur des principes comme la liberté, l’épanouissement individuel, en termes de sexualité. […] En tant que féministe aussi, je ne conçois pas la question de la fidélité comme la majorité qui est sous la coupe de la morale judéo-chrétienne. » (Pascale Solages)
« C’est assez, en effet, d’avoir dans le temps passé accompli la volonté des païens, en marchant dans la dissolution, les convoitises, l’ivrognerie, les excès du manger et du boire, et les idolâtries criminelles. Aussi trouvent-ils étrange que vous ne vous précipitiez pas avec eux dans le même débordement de débauche, et ils vous calomnient. » (1 Pierre 4 v 3-4)
A Saint Martial, j’ai connu un Solages avec le prénom d’Allain qui habitait à Carrefour-Feuilles, précisément à la Route des Dalles, zone Carrefour Saintus. Allain était un type brillant, très calme avec un grand sens de l’humour, et un adolescent(jeune) qui craignait Dieu. J’ai eu la chance de fréquenter deux autres Solages de 1995, année où je suis entré à l’UEH à Février 2011, où j’ai laissé Haïti pour continuer mes études en Amérique du Nord. Ces gens étaient tous des individus sobres ayant reçu une éducation familiale bien dosée avec le sens de l’éthique et de la moralité. Je ne crois pas que la féministe Pascale Solages, supportrice du mouvement Masimadi en déguisement ait reçu une éducation contraire aux autres Solages s’appuyant sur le roc de la morale Judéo-Chrétienne. Je ne vais pas m’attarder sur les affaires de jambes en l’air de prostitués/prostituées/homosexuels/masisis et madvinèz ; la sortie masimadique de Pascale Solages sert de prétexte pour aborder ici la question de débauche ou corruption sexuelle qui est un frein à la libération et au développement d’Haïti. Le sociologue Jacques Arnaud Demesier a réalisé un excellent travail sur le concept de « Bouzendri » en Haïti, surtout dans les sphères de la politique, la société civile et autres. Le Sociologue Jean Eddy Saint Paul a théorisé dans sa thèse de doctorat sur la politique du ventre et du bas ventre en Haïti. Aujourd’hui, je ne vais pas parler de LGBTQ, masisis et madivinèz en essence ; je veux toucher un point, un problème rageur qui détruit la société haïtienne à grands feux : Ces prostitués (gason bouzen) et prostituées (fanm bouzen) qui harcèlent à tort et à travers les jeunes, et les endiguent dans la voie du progrès, de la raison, de la moralité et de l’éthique.
Pascale Solages n’est pas seule et cette jeune femme très bien formée n’est pas une « tête poule » également. Pascale Solages a appréhendé les faits sociaux en Haïti, et a su s’approprier de certaines mœurs et linges sales pour faire son beurre et bâtir sa réputation sur du sable. Ces féministes en Haïti, depuis les années 80 cessent d’être des constructeurs de famille santibons. En ce premier quart du 21ème siècle, une grande majorité des féministes en Haïti sont des prostituées et des madivinèz. J’ai eu la chance de travailler avec le Professeur Guy Dallemand pour mon mémoire de sortie sur le sujet : « Prostitution Classique en Haïti, le Cas de l’Université d’Etat d’Haïti. Les proxénètes docteurs pacotilles de l’UEH n’ont pas voulu accepter ma thèse, et j’ai pu comprendre et déceler le vaste réseau de prostitution au sein de la société haïtienne. A la Faculté des Sciences Humaines, où j’ai voulu soutenir cette thèse, j’ai pu réaliser qu’elle était un bastion de débauche et de corruption sexuelle. Des professeurs harcèlent des étudiants/étudiantes ; des étudiants se comportent en bandits face à leurs pairs. C’est à la Faculté des Sciences Humaines que j’ai pu comprendre l’ampleur de l’immoralité et de l’amoralité en Haïti. Comment Haïti peut-il avancer, sortir de l’ornière du marasme avec des professionnels « chawony » pour paraphraser Sweet Micky Michel Joseph Martelly. On dit que la presse est le quatrième pouvoir dans tout pays viable au monde. En Haïti, c’est au sein de la presse que la vie « chawony » est promue avec des « machann mikwo », des proxénètes et des prostitués/prostituées. Comment un journaliste qui s’amuse à mentir à des jeunes filles, juste pour obtenir un « 4 kanpe » peut-il prôner une Haïti Nouvelle ?
Des gens me disent que la jeunesse haïtienne est corrompue comme si les jeunes sont nés naturellement corrompus. Certains promoteurs de la vie charognarde (chawony) et de l’infidélité veulent nous faire croire qu’il y a un gêne corruption et débauche. Nous disons qu’Haïti a un problème spirituel avant tout. J’invite les jeunes à mener une petite étude sur ces journalistes soit disant « phares de la presse haïtienne ». Vous verrez que la grande majorité, surtout ceux qui sont dans la quarantaine, cinquantaine et soixantaine sont des gens immoraux et/ou amoraux. Quand la pseudo petrochallenger Pascale Solages, promotrice de masimadi en Haïti parle de principes de liberté et d’épanouissement individuel, en termes de sexualité ; elle s’est fait écho de la vie « chawony ». Ecoutez bien, les petites mœurs, l’immoralité a toujours existé en Haïti, mais on n’en parlait pas. La grande majorité de nos grands-pères, grands oncles, grands cousins hommes mariés, ont eu des concubines, des « pititi deyò ». Mais ce qui a changé aujourd’hui, c’est que les bandits adeptes de la débauche et de la corruption sexuelle s’exhibent et parlent ouvertement de la vie « chawony ». N’est-ce pas que le journaliste « Fin konyen Demake ; FKD » Valery Numa est très à l’aise sur les ondes de la Radio Vision 2000 qui fut une référence dans le temps pour parler de débauche sexuelle ? Quelques mois de cela, n’a-t-il pas dit que les violeurs violent nos jeunes femmes parce qu’elles sont trop excitantes avec leur accoutrement ou encore habillement sexy ? Quand vous entendez ce Valery Numa déblatérer et est le modèle de nombreux de jeunes ; il faut jeter un coup d’œil sur ces jeunes pour voir quel mode de vie ils embrassent. Ce que ceux qui entendent Valery Numa ne savent pas. C’est qu’il est de mèche avec des agents de justice pour empêcher que des jeunes femmes portent plainte contre lui pour obtenir une pension alimentaire. Nous ne parlons pas de 3 ni de 4 plaintes rejetées ; nous parlons d’une dizaine près.
Valery Numa n’est pas le seul débauché au niveau de la presse, il y a d’autres journalistes « FKD », des masisis et des madivinèz qui tirent bien leurs épingles du jeu. Je veux que vous faites travailler vos méninges : Pourquoi d’après vous quand le Président Michel Joseph Martelly essayait de dénigrer la journaliste Lilianne Pierre Paul avec ses diatribes sexistes, pourquoi la grande majorité silencieuse n’a jamais élevé la voix ? Pourquoi les soit disant chroniqueurs visibles n’ont jamais offert leur support à Lilianne Pierre Paul qui mérite bien les palmes d’honneur de notre société pour sa combattivité dans la lutte pour un nouveau pays viable ? La Presse haïtienne est prise en otage par des journalistes charognes, infidèles, menteurs, immoraux, amoraux, des bonimenteurs, des corrompus, des corrupteurs, et des débauchés sexuels. Je connais des journalistes qui font beaucoup de bruits, mais qui harcèlent toutes les femmes qui participent à leur émission comme invites. Dans cette atmosphère nauséabonde, il est quasi difficile pour une jeune femme en vue, calée d’embrasser des valeurs éthiques et morales, et d’être fidèle à son copain ou à son mari. C’est un véritable bordel au sein de la presse.
Parlons à présent de ces politiciens « Papa Chacha » comme Sweet Micky aiment bien les appeler. La moralité et l’éthique sont des concepts étrangers à la sphère politique en Haïti. Chaque politicien a au moins une douzaine de « ti fanm deyò ». Ils agissent comme des trafiquants de cocaïne proxénètes. Comment peut-on combattre la corruption avec des débauchés au timon des affaires ? On vous dit que le Chef de l’Etat a un petit ami prénommé « Lionel » ; non seulement il est masisi, mais il entretient des concubines. Chaque Sénateur a assez de clients pour remplir un bordel de cinquante chambres. Certains députés, durant la législature arrivent même à engrossir une demi-douzaine de femmes et ne prennent pas leurs responsabilités. De petits fonctionnaires dans l’Administration Publique dans leur quarantaine sont déjà pères de huit enfants ; comment peut-on combattre la corruption dans la fonction publique. Pour être à la mode, un ministre, un directeur général doit avoir plusieurs « manman pitit ». La culture de la corruption est un mal endémique qui gangrène la société haïtienne. La corruption sexuelle est un rat rongeur qui détruit les fondements vitaux de la société. Pascale Solages n’est pas seule et elle charrie le message de toute une corporation de charognards. J’ai fini par comprendre que cette jeunesse débauchée avec des prostitués (gason bouzen) et « Fanm bouzen), « masisis » et des « madivinèz » à la tête de la grande majorité de structures représentant la jeunesse ne pouvait pas faire plier les dilapidateurs des fonds Petrocaribe. Notre société est malade jusqu’aux os.
J’aimerais inviter les jeunes, surtout les jeunes femmes à la prudence. Un homme très en vue dans la fin quarantaine et la cinquantaine qui vit seul en Haïti, a un sérieux problème. Vous pouvez bien tomber sous le charme d’un dandy, un homme bien instruit qui attire la foule ; mais il faut vous demander : Combien de « manman pitit » et d’enfants ce spécialiste en camouflage et bonimenteur a ? Pourquoi faut-il être sur ces gardes avec ces hâbleurs dans la société haïtienne ? Nombre sont des malfaiteurs, des Draculas qui sont à la recherche de sang, de chair et d’âmes. Nos militants politiques et politiciens en Haïti sont des « Wangatè », et ils feront tout pour être en position de pouvoir. De nombreuses jeunes filles ont laissé leur peau dans une relation de concubinage avec des politiciens, des journalistes et des agents sociaux de la société civile qui ne vient que par et pour la corruption. A 25 ans, à 30 ans, vous ne pouvez pas vous permettre d’arpenter les péristyles pour tenir un homme en selle mes petites sœurs. Certains hommes en vue dans notre société sont envoutés parce qu’ils ont violé la confiance d’une jeune fille qui a des « paran towo » et qui ont fait ce qu’ils devraient faire pour leur faire asseoir. Nombre de ces individus sont très calés, mais ils vivent comme des déjoués ; ils ne peuvent rien réaliser, « yo gate yo ». Pourquoi un homme doit mentir à une jeune femme pour aller au lit avec elle ? Si vous avez une femme, une manman pitit avec laquelle vous êtes liés occultement, pourquoi mettre la vie d’une jeune femme naïve en péril ? Messieurs, c’est du vagabondage. Comment peut-on construire un pays viable où il fait bon vivre avec des menteurs, des bonimenteurs et des magouilleurs ? Le pire, même quand ils sont démasqués ; ils veulent trainer dans la boue de paisibles citoyens qui prennent leur courage à deux mains pour les exposer.
Souvenez-vous que j’ai écrit depuis près d’une dizaine d’années que « Tous les Haïtiens sont fous, et la plupart sont fous aliénés. » Je parlais et continue à parler en connaissance de cause. Nombre de ces « gason bouzen » sont des malades mentaux qui refusent de suivre un traitement approprié. Certains souffrent de dépression aigue, d’autres sont des schizophrènes. L’ironie du sort, vous trouvez des spécialistes en santé mentale en Haïti qui sont des « gason bouzen ». Qu’arrivent-ils dans un pays quand ceux qui sont placés pour orienter les « égarés » sont eux-mêmes des « perdus » ? J’ai 44 ans, je n’ai jamais été mêlé à des « zens », les affaires de cul de bandits et de débauchés ne m’intéressent pas ; mais je suis interpellé quand ils essaient de vendre leur mode de vie salamique à la jeunesse et a toute une population. Pascale Solages n’est pas seule et veut faire école. Pascale Solages elle-même a été à la mauvaise école de ces « madivinèz » qui ont fait leur beurre au sein du mouvement féministe durant ces trente dernières années. Si les féministes haïtiens n’avaient pas cet agenda caché qu’est le lesbianisme, le masisisme ; au point où nous sommes, le phénomène « Restavèk » serait relégué au passé ; les jeunes femmes trouveraient des écoles professionnelles pour apprendre des professions et gagner dignement leur pain quotidien. Le Ministère à la Condition Féminine est un bastion d’esclaves des sens, de débauchés et de corrompus sexuels. Les débauchés et les corrompus sexuels en Haïti font partie de ce vaste champ de corrompus et de corrupteurs en général. La Corruption n’est pas seulement l’apanage de la politique ; les corrompus sont un peu partout.
Certains de nos grands débauchés en Haïti ont leur femme, multiples « manman pitit » et enfants à l’étranger ; et ils chassent des jeunes femmes au pays de Jean Jacques Dessalines latrinisé. Les jeunes femmes n’ont pas d’encrage moral ou spirituel au pays, car elles rêvent toutes de devenir « gran fanm » et elles sont prêtes à avoir une aventure avec un bonimenteur à cravate, et pourquoi pas avoir un enfant hors des liens du mariage. La jeunesse haïtienne est l’objet d’un complot ; et ce sont des jeunes qui vivent dans la débauche qui sont à la solde des Ambassades du Core Groupe pour mener à bien cet agenda salamique.
Je cherche à comprendre tout le monde. Je sais qu’avant de juger un individu, il faut marcher dans ses mocassins pendant des kilomètres. Disciple de Jésus-Christ et Kabbaliste marchant sur les traces de mes Pères Abraham, Joseph, David et Jean Jacques Dessalines, je dois donner la main aux faibles. Messieurs les malades mentaux, les obsédés sexuels, je peux vous aider comme spécialiste et/ou travailleur en santé mentale qui effectue des recherches en spiritualité et santé mentale. Haïti ne pourra pas faire un pas Kita et un pas Nago avec la débauche et la corruption sexuelle. J’aborderai dans un autre article le dossier des obsédés sexuels de la diaspora, grands diplômes spécialistes du tourisme sexuel salamique. Il y a des hommes dans notre communauté, ils sont fiers de dire qu’ils ont couché avec une telle, une telle et une telle ; de jeunes et belles âmes. Que de jeunes femmes et hommes ont fait les frais de ces prédateurs sexuels ? Les Valery Numa, Jean Monard Metellus, Garry Pierre Paul Charles et nos « Ti blada » de politiciens qui pullulent comme des champignons sont des dangers publics pour la société haïtienne. Mentir à une jeune femme pour la déculotter n’a rien de noble ou d’honorable, chers petits nains écervelés. Un conseiller de Jovenel Moise m’a dit récemment : « Kerlens, peyi a plis ke pare pou maryaj omoseksyèl paske sosyete a pouri ; anpil moun ou wè k ap pale fò, se ipokrit yo ye. »
Ce texte est un avertissement pour certains ; je ne serai pas clément dans mon prochain texte. Quand une jeune fille, se basant sur ma connaissance approfondie de cette société déliquescente, mon honnêteté et mes prises de positions patriotiques claires et lucides pour s’enquérir de certains bandits à cravate que j’appelle des « ti vakabon bout chòt » et des « gason bouzen », je me ferai toujours le devoir de les exposer. Ya manje vakabon ki nan chawony ak yo, pa nèg k ap pwone lapè, respè valè etik ak moral, la vérité et le santibon. Mon cher frère et compatriote, ce texte est pour toi ; la prochaine fois, je t’exposerai et je finirai par te forcer à voir un psychiatre parce que tu en as grand besoin. Il n’y a rien de mal de se faire ausculter par un psychiatre ou de suivre un traitement psychiatrique. « Un psychiatre est un médecin spécialisé en santé mentale, exerçant la psychiatrie. Il diagnostique, traite et tente de prévenir la souffrance psychique et les maladies mentales. » Messieurs, vous faites du mal à des jeunes en étant des « Gason bouzen » et des masisis qui enculent les jeunes femmes et les portent à participer dans des shows lesbianiques. Les serviteurs et les servantes de Dieu chôment en Haïti ; et pourtant, ils ont du pain sur la planche avec ces débauchés et corrompus sexuels qui sont un danger pour la nation haïtienne et constituent un frein à la libération et au développement d’Haïti. Jodia, nou jwenn mwen bannou konsèy ; gen paran ki pap pè manje nou e pran zonbi nou pou travay nan jaden. Sonje byen mesye, dèyè mòn gen mòn. Mache gaspiye pitit moun se yon krim. Voilà ce qui arrive à un pays quand ces élites, surtout intellectuelle rejettent la spiritualité positive et croient que la Science et la Spiritualité Positive sont incompatibles.
Si tu es mouillé par ce texte, cher compatriote, sache que j’ai envoyé de l’eau avec nulle intention de mouiller quiconque. Comme travailleur social et travailleur en santé mentale, je suis prêt à vous aider, et à vous recommander à des amis dépendamment de la sévérité de vos troubles nerveux.
1 Corinthiens 6 v 12 à 20 :
12 Tout m’est permis, mais tout n’est pas utile ; tout m’est permis, mais je ne me laisserai pas asservir par quoi que ce soit.
13 Les aliments sont pour le ventre, et le ventre pour les aliments ; et Dieu détruira l’un comme les autres. Mais le corps n’est pas pour la débauche. Il est pour le Seigneur, et le Seigneur pour le corps.
14 Et Dieu, qui a ressuscité le Seigneur, nous ressuscitera aussi par sa puissance.
15 Ne savez-vous pas que vos corps sont des membres de Christ ? Prendrai-je donc les membres de Christ, pour en faire les membres d’une prostituée ?
16 Loin de là ! Ne savez-vous pas que celui qui s’attache à la prostituée est un seul corps avec elle ? Car, est-il dit, les deux deviendront une seule chair.
17 Mais celui qui s’attache au Seigneur est avec lui un seul esprit.
18 Fuyez la débauche. Quelque autre péché qu’un homme commette, ce péché est hors du corps ; mais celui qui se livre à la débauche pèche contre son propre corps.
19 Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ?
20 Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu.
Ces chenapans esclaves de sens et débauchés sexuels sont aussi coupables que les voleurs de grands qui ont dilapidé les fonds des Coopératives et les fonds Petrocaribe. Haïti a une carence d’hommes et de femmes debout intègres et honnêtes qui embrassent les valeurs morales et éthiques judéo-chrétiennes de la Sainte Bible qui sont un passage obligé pour arriver à un pays viable. Nous comprenons pourquoi les soit disant professionnels de la classe moyenne sont si silencieux ; ils sont forcés à garder le silence vu qu’ils embrassent la vie « chawony » ; cette perversité qui ne mène qu’à la pauvreté, la misère et au sous-développement.
Kerlens Tilus 07/25/2020
Tel : 631-639-0844
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