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L’OEA, dénoncée pour être contre toute reddition de comptes en Haiti, dit « s’engager à soutenir la reconstruction du pays »; « un déjà entendu », souligne Dr. Renaud de NERHO

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« Une promesse qui a été déjà faite en janvier 2010. Le résultat : Haiti, grace au soutien inébranlable de l’OEA, Luis Almagro notamment, a connu 10 ans de règne de corruption PHTK-Tèt Kale qui a dilapidé une bonne partie de $4.3 milliards des fonds de Petro Caribe. Le pays a régressé, ses institutions vassalisées, ses citoyens plus pauvres aavnt 2017 et Haiti est passé pour le plus corrompu de la région« , a soutenu Dr. Renaud de l’organisation des droits humains (NEHRO), basée aux Etats-Unis.

Vendredi 20 aout 2021 ((rezonodwes.com))–Lors d’une session virtuelle extraordinaire du Conseil permanent de l’Organisation des États américains pour examiner la crise humanitaire en Haïti, les représentants des pays membres ont exprimé leur engagement à reconstruire le pays des Caraïbes.

« Le soutien de l’OEA à la reconstruction d’Haïti sans une reddition de comptes, sans le procès Petro Caribe, avec l’équipe PHTK au pouvoir et tous ses dirigeants actuels illégaux, illégitimes, est une blague à faire dormir debout », a déclaré le dirigeant de NEHRO, Dr. Josué Renaud mettant en garde les haïtiens pour ne pas se laisser entrainer dans ce piège à fabriquer des élections truquées et frauduleuses.

Le tremblement de terre s’est produit 11 ans après un autre séisme qui a également gravement touché le pays et a fait, à l’époque, plus de 300 000 morts. Cette fois, le tremblement de terre était de magnitude 7,2 et a fait 2 189 morts et 12 268 blessés. L’OEA qui n’a jamais encouragé la tenue du Procès Caribe, a appuyé sans réserve le régime de Jovenel Moise indexé dans de nombreux actes de corruption et de détournement de fonds.

Le Premier ministre de facto Ariel Henry était présent à la réunion de ses sponsors et a souligné que ce séisme, bien que plus puissant, s’est produit dans une région moins peuplée, de sorte que le nombre de blessés, de morts et de destructions est plus faible.

Malgré cela, M. Henry a expliqué que 48 heures après le tremblement de terre, la zone touchée a également été frappée par la tempête tropicale Grace, qui a rendu difficile la recherche de 332 personnes disparues et a affecté au moins 136 000 familles.

« Le défi est de taille et, à ce stade, nous aurons besoin de votre soutien », a déclaré M. Henry, un dirigeant sans aucune base constitutionnelle, ajoutant qu’il travaille déjà avec la Banque interaméricaine de développement (BID) pour évaluer les coûts de reconstruction et planifier la manière dont ce processus pourrait être réalisé « dans les plus brefs délais ».

M. Henry a conclu en disant que cette crise s’ajoute au « manque chronique de stabilité politique » dont souffre le pays depuis l’assassinat du président Jovenel Moise qui a gouverné par décret en flagrante violation des lois établies. Le PM de facto s’est engagé à organiser des élections « libres et transparentes » avec un organisme électoral illégal et contesté « dès que possible » dont la nature seule, a le secret.

Covid-19 : Les États-Unis maintiennent fermées les frontières terrestres avec le Mexique et le Canada

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Les États-Unis maintiennent leurs frontières terrestres fermées aux touristes pour au moins un mois supplémentaire.

Vendredi 20 août 2021 ((rezonodwes.com))–Les frontières terrestres des États-Unis avec le Mexique et le Canada vont rester fermées aux touristes pour au moins un mois supplémentaire, a annoncé vendredi 20 août le département américain de la Sécurité intérieure.

Le ministère de la Sécurité intérieure a précisé que les restrictions frontalières sur les voyages non essentiels ont été prolongées une nouvelle fois, cette fois jusqu’au 21 septembre, les États-Unis s’efforçant de réduire le nombre de cas de COVID-19. Les restrictions avaient été précédemment prolongées jusqu’au 21 août.

« En coordination avec les experts de la santé publique et de la médecine, le DHS continue de travailler en étroite collaboration avec ses partenaires à travers les États-Unis et au niveau international pour déterminer comment reprendre les voyages normaux en toute sécurité et de manière durable « , a tweeté le DHS vendredi.

Notons que les restrictions ont été prolongées chaque mois depuis leur première mise en œuvre en mars 2020, lorsque le DHS et ses homologues canadiens et mexicains ont fermé les frontières aux voyageurs d’agrément pour limiter la propagation du coronavirus.

Time News – First Came an Earthquake. Then a Hurricane. Now, Haiti, the last Country to receive COVID-19 vaccine, is Bracing for an Outbreak of Disease

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On Aug. 14, a devastating 7.2-magnitude earthquake hit southwestern Haiti, leaving 2,189 people dead, 12,268 injured and at least 332 missing. Days later, Tropical Storm Grace swept over the ravaged landscape, hampering the complicated search and rescue mission. Yet aid groups say this is only the beginning of the crisis.

TIME

According to a UNICEF report, the last confirmed cholera cases in Haiti were reported in February 2019. The risk is “very much on the radar.”

Vendredi 20 août 2021 ((rezonodwes.com))–

The island country of nearly 12 million people has faced one disaster after another in the space of a few weeks. In July, President Jovenel Moïse was assassinated amid mounting allegations of corruption. The country has been struggling with poverty, disease and a fractured infrastructure since a catastrophic earthquake in 2010, which killed over 200,000 people.

Now another quake, followed by a storm, has left Haiti in pieces. According to U.N. estimates, 40% of the total affected population are in need of emergency humanitarian assistance. In some areas, up to 15 inches of rain led to flash flooding and landslides, blocking roads to communities in urgent need of relief.

“There’s a lot of death and a lot of destruction,” Ann Lee, the CEO of CORE, a community-oriented aid organization, tells TIME. “We’re slowly seeing the numbers come up and it’s a lot worse than what I feared.”

In the most affected areas—the regions of Sud, Grand’Anse and Nippes—around 61,000 houses were destroyed. Flooding from the storm has forced people to shelter inside unstable buildings.

Humanitarian workers are no less at risk. Wes Comfort, recovery and response lead at aid organization Heart to Heart International, told TIME his medical team chose to sleep on their car hoods. “Everyone is very wary of sleeping indoors. So last night we camped out and listened to the aftershock rattle the tin roof of the [mayor’s] office.”

Aid organizations now fear the deadly combination of landslides, falling debris and flooding will heighten the risk of disease to the local population.

The ongoing COVID-19 pandemic is also an immediate concern. Over the course of the pandemic, Haiti has reported 184 confirmed cases of COVID-19 per 100,000 people and 582 deaths. Yet, testing is very limited due to poor infrastructure; confirmed cases are likely higher.

But this week’s natural disasters risk escalating the spread of coronavirus through a barely vaccinated population. Haiti was the last country in the western hemisphere to receive COVID-19 vaccines, and took receipt of its first batch of 500,000 Moderna doses on July 16.

CORE had just opened several COVID-19 vaccine clinics when the earthquake hit. “They’re mostly in the western [part of the country],” Lee tells TIME. “We were spreading out to the south, and this happened. And this is going to cause a lot more difficulty being able to get out there as we had planned.”

Muhamed Bizimana, Assistant Country Director in Haiti at CARE aid organization, told TIME his team is concerned by the potential for another wave of COVID-19. “We are concerned that the environment created by the whole devastation [is] creating conditions for a new outbreak,” he said.

Aid organizations say they are encouraging people to shelter on their home ground rather than in crowded camps, which could further spread the virus. “This [the earthquake] only happened on Saturday. So now we are still in the incubation period,” Bizimana said.

Poor sanitation and damage to water systems are also sparking concerns about waterborne diseases. In Pestel, Grand’Anse, nearly 1,800 tanks of clean water were cracked by the earthquake.

Stagnant water from flooding also provides a breeding ground for mosquitoes. According to Dr. Maureen Birmingham, a representative in Haiti for the Pan American and World Health Organizations, the country had been making advances in malaria control before setbacks brought by COVID-19 and the political instability.

Birmingham says medical teams are on high alert for “diarrhoeal disease, respiratory disease, […] and skin problems” due to poor sanitation, poor hygiene, and crowded conditions. “[It’s] hard to say which is the most worrying one.”

Cholera is on everyone’s minds—the country’s first outbreak came after the 2010 earthquake, resulting in nearly 10,000 deaths. The waterborne disease continued to spread through the population, with a particularly significant increase after Hurricane Matthew in 2016.

According to a UNICEF report, the last confirmed cholera cases in Haiti were reported in February 2019. The risk, says Birmingham, is “very much on the radar.”

source

Ariel Henry, devant ses sponsors, insiste sur la tenue de la 3e tragédie électorale PHTK au moment du cataclysme avec l’absence de l’Etat manifestement remarquée et remarquable

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minute de réflexion

Ariel Henry serait-il pire et cynique que le redoutable chef des Talibans qui, comme lui, accapare illégalement le pouvoir et gouverne en toute illégitimité ?

En fait, qui donne tout ce pouvoir à Ariel henry pour continuer de parler au nom de plus de 11 millions d’ Haïtiens ? Dr. Henry a-t-il été à une élection pour venir diriger le pays ?Décidément, les haïtiens iront de tragédie en tragédie, heureusement que celles programmées par nos sous-hommes peuvent être toutefois évitées en les exigeant de partir quand la table est desservie.

Vendredi 20 août 2021 ((rezonodwes.com))–A la tête d’un gouvernement de fantoche « qui ne dirige rien, ne gouverne rien  » et incapable de prouver l’existence de l’Etat dans les minutes suivant le cataclysme du samedi 14 août, Dr. Ariel Henry, premier-ministre de facto, veut offrir à Haiti une nouvelle tragédie, en insistant avec un CEP-Dermalog illégal sur la tenue d’un scrutin dont tout le monde connait déjà le résultat.

A l’OEA, – lors d’une rencontre virtuelle – le Premier ministre de facto qui devrait être bientôt interdit de parler en notre nom, à moins d’un consensus, a promis vendredi d’organiser des élections « le plus tôt possible » malgré les ravages du récent tremblement de terre, dans une nation encore sous le choc de l’assassinat du président de facto Jovenel Moise.

Lors d’une session virtuelle du Conseil permanent de l’Organisation des États américains (OEA) sur Haïti, M. Henry, le produit de l’international, a reconnu que la communauté internationale considère avec inquiétude l’instabilité politique « chronique » de ce pays des Caraïbes, « aggravée par l’assassinat infâme » de Moise le 7 juillet.

« Je m’engage à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour remettre mon pays sur les rails d’une démocratie fonctionnelle en organisant des élections libres et transparentes dès que possible », a-t-il déclaré.

« Il est impératif que nous revenions rapidement au fonctionnement normal des institutions démocratiques », a souligné M. Henry, qui a pris illégalement ses fonctions le 20 juillet après avoir été nommé par M. Moise, mais celui-ci, selon des « ex »-Secrétaires d’Etat, n’a jamais eu le temps de parapher l’arrêté présidentiel quoiqu’illégal et inconstitutionnel.

Le Premier ministre de facto, sans gêne, a admis que le processus électoral exclusif en cours avait été interrompu par le tremblement de terre, « qui a mobilisé toutes les énergies« , mais a assuré qu’il serait repris « le plus rapidement possible« , pour accoucher, avait prédit Claude Joseph, « la 3ème tragédie électorale PHTK ».

Le roi est mort, vive le roi !

Non, le pays ne peut pas ainsi continuer à aller de tragédie en tragédie. Cette hémorragie intracérébrale nous risque d’être fatale. Le pays a besoin d’un médecin qui peut faire cesser l’hémorragie, corriger le temps de saignement prolongé. Dr. Henry a raté l’occasion de se taire car toute consultation populaire est interdite en Haiti. Sispann defye la nati !

avec Efe

Caritas Haïti au chevet des victimes du séisme du 14 août

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Près d’une semaine après le séisme qui a touché le Grand Sud, les Haïtiens s’organisent pour venir en aide aux victimes. Caritas Haïti est engagé pleinement dans les opérations de secours et d’assistance alors que les besoins sont énormes, les victimes se disent abandonnées, Ariel Henry vante sa gestion de la crise devant ses sponsors de l’OEA.

Vatican News

Vendredi 20 août 2021 ((rezonodwes.com))–

Selon la Protection civile haïtienne, 600 000 personnes ont besoin d’une assistance humanitaire immédiate après le séisme du samedi 14 août qui a causé la mort, selon un dernier bilan d’environ 2200 personnes. Les secours s’organisent tant bien que mal alors que certaines zones frappées par le tremblement de terre sont encore très difficiles d’accès. L’Église catholique se mobilise via notamment la Caritas pour venir en aide aux victimes.

Pour son directeur, le père Jean Hervé François, il y a quatre priorités : le logement tout d’abord, car de nombreuses maisons ont été détruites ou endommagées et la population a peur d’y retourner et préfère dormir dans la rue, «à même le sol, sans couverture » explique-t-il. «La priorité, c’est de leur fournir des tentes ou des bâches pour qu’ils puissent se protéger», précise le directeur de Caritas. C’est le point le plus critique, le pays ne possédant que très peu de tentes pour abriter provisoirement les familles, en attendant la réparation ou la reconstruction de leurs maisons.

Ensuite, il faut assurer le ravitaillement des victimes en eau potable et en nourriture. «Les gens n’ont pas de quoi se nourrir, pas seulement les pauvres, mais tout le monde car l’approvisionnement au niveau des villes du sud est difficile».

Enfin, il faut du matériel sanitaire, les hôpitaux et les centres de santé ayant été touchés par les secousses.

Entraide immédiate

Pour Caritas Haïti, la priorité est la solidarité locale entre les victimes qui doivent mettre en commun les ressources dont elles disposent. Vient ensuite la solidarité nationale via les diocèses qui «se mobilisent pour recueillir des fonds et du matériel». C’est le cas par exemple du diocèse de Jacmel, au sud-est du pays qui «est en route vers Les Cayes avec des provisions», confie le père François.

L’acheminement de l’aide peut toutefois faire face à quelques problèmes en raison de l’insécurité chronique qui caractérise Haïti. Si dans le Sud, «c’est la solidarité qui est privilégiée», affirme le directeur de Caritas, il y a des problèmes en sortant de Port-au-Prince, la capitale. Des tensions ont été signalées à Martissant, un des quartiers de la ville. D’autres points ont posé problème, les populations locales, elles-mêmes dans l’attente d’une aide humanitaire, se sentant délaissées face au passage des convois vers d’autres zones dévastées et n’hésitant pas à arrêter les camions pour trouver de quoi manger.