Le ministère de l’Immigration des Bahamas a annoncé la reprise de toutes les activités de rapatriement des haïtiens illégaux à Port-au-Prince. Un total de 112 ressortissants haïtiens escortés par des agents de Law Enforcement Officers, ont pris place vendredi à bord d’un vol charter Bahamasair
Port-au-Prince, samedi 23 février 2019 ((rezonodwes.com))–La déportation de ce groupe d’ haïtiens, la toute première embarcation depuis les manifestations anti-Jovenel débutées le 7 février, comprend 99 hommes, 12 femmes et 1 mineur.
Leur aventure a été de courte durée, car ils reviennent faire face à la dure réalité d’Haïti, pays dont des dirigeants sont couronnés champions dans la catégorie dilapidation de fonds de Petro Caribe, de corruption et d’impunité en Amérique, après le Venezuela de Nicolas Maduro. Pays également où le système judiciaire laisse à désirer avec les derniers actes d’avilissement posés par le ministre de la « Justice ».
Par ailleurs, Bahamas garde encore prisonnier au moins 5 ressortissants haïtiens qui ont tenté à deux reprises de venir illégalement s’établir dans ce pays. Notons que ces compatriotes avaient le choix entre verser une amende de 1000 à 1500 dollars pour avoir enfreint les lois des Bahamas sur l’immigration ou aller croupir derrière les barreaux pour 6 à 9 mois, selon la gravité du récidivisme.
Eske nou menm Ayisyen kolektivman vreman medite sou kisa sa vle di pou nou, pou yon Pep ki fe 1804 pou sove Limanite, epi jounen jodi a, nap pran tout imilyasyon sa yo nan kote tankou Bahamas ki se yon depatman Franse?
Kile nap fe yon leve kanpe pou chalvire, ranvese bann klas dominan reyaksyone malpwop yo ak politisyen abolotcho yo ki pa gen plas yo nan tet peyi d Ayiti anko? Le a rive wi!!!