Haïti – PHTK et alliés créent le monstre G9 pour permettre à Ariel Henry de justifier une 4è intervention militaire

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Haiti, le génocide annoncé!

L’esclave à talent et premier ministre de fait, Dr. Ariel Henry, est désormais identifié comme l’ennemi PUBLIC #1 du peuple haïtien en direction duquel il a dégainé son arme. En humiliant son peuple pour se sentir important devant son maitre-blanc, il montre à quel point il est méprisant et méprisable et que ses solides années d’études n’ont aucune valeur car « science sans conscience n’est que ruine de l’âme».

Vendredi 7 octobre 2022 ((rezonodwes.com))–Comme de bons élèves à l’école machiavélique de Papa Doc, pour que plus jamais la question des fonds dilapidés Petro Caribe ou encore les fonds de reconstruction post-séisme 2010, ne refasse surface, Michel Martelly, Laurent Lamothe, Ariel Henry et alliés SDP (André Michel)-Fusion (Edmonde Beauzile) ont créé des événements pour maitriser une situation, se mettent-ils en tête, qui leur sera favorable. La présence d’une « force spécialisée armée » pour une durée indéterminée afin de tenir en respect toute personne manifestant contre le régime.

Si en 1914, selon une enquête de New York Times, les mots d’ordre de la première invasion d’Haiti provenaient des banquiers de Wall Street « Envahissez Haïti », et « Les États-Unis s’exécutent« , en 2022, ce sont « les fils dénaturés du pays« , affirme Dr. Josué Renaud qui « livrent le pays à la boucherie, à l’occupation pour sauvegarder leurs petits intérêts mesquins« .

Haiti, en dépit que cela fait plus d’un siècle qu’il traîne après une double dette de l’Indépendance, une image de désastre, de cas désespéré, de pays si pauvre et appauvri, si endetté avec des gouvernements incompétents et corrompus installés par la communauté internationale, tel est le cas pour l’administration inconstitutionnelle d’Ariel Henry, aujourd’hui le régime PHTK a trouvé juste de recourir une nouvelle fois aux bottes de soldats étrangers malgré les séquelles physiques et psychologiques que les trois premières occupations trainent encore derrière elles.

Tout a commencé au printemps de 2020, quand l’ex-président Jovenel Moise, conseillé par la représentante de BINUH, Helen La Lime, a fédéré les gangs, les neuf « mieux structurés » pour pouvoir à volonté et au besoin pressant les utiliser.

C’est exactement à ce carrefour de l’histoire, deux ans plus tard, qu’Haïti, avec une équipe de bandits à cravate, se trouve placé comme le stipule une résolution du conseil des ministres, une bande d’apatrides, les ennemis publics #1 de la République.

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